CAIR Express – votre bulletin d’information sur la Radiologie d’intervention Canadienne à portée de la main. N’hésitez pas à le transmettre à d’autres collègues de votre réseau et, surtout, de profiter du matériel qui a été conçu pour vous.

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The Department of Radiology at Niagara Health seeks a highly skilled and motivated fellowship trained Vascular and Interventional Radiologist with a track record for providing compassionate and efficient care to join the Diagnostic Imaging Service.

Tara Utley compte plus de 20 ans d’expérience dans l’industrie de l’imagerie médicale, tant en environnement clinique comme technologue d’intervention (technologue en radiation médicale [TRM]) qu’en formation avec sa plus récente expérience de chef de produit.

L’instauration de l’examen de surspécialisation en radiologie d’intervention conduit les radiologues d’intervention (RI) de tout le Canada à devoir prendre une décision : ai-je vraiment besoin de passer un autre examen du Collège royal?

La radiologie d’intervention est un domaine qui offre des occasions infinies, et ce qui fait de cette spécialité l’une des plus stimulantes de la médecine, c’est en partie son évolution constante.

Le présent segment présentera un bon coup découvert par un radiologue d’intervention vasculaire débutant pendant sa résidence ou sa surspécialisation, afin d’en faire bénéficier toute la communauté. Le premier bon coup nous vient du Dr Joel Woodley-Cook, du Scarborough Health Network

À Kelowna, dernièrement, le Dr De Korompay a fait partie d’un groupe qui a commencé à offrir des traitements endovasculaires d’AVC ischémiques aigus, mettant sur pied un programme de A à Z.

Depuis 2015, le Dr Woodley-Cook exerce la radiologie diagnostique et d’intervention à Scarborough, où il a orienté plus particulièrement sa pratique vers les interventions d’hémodialyse et le traitement des maladies vasculaires périphériques.

La Dre Sinclair a une pratique de RI diversifiée, dans laquelle elle met fortement l’accent sur les malformations vasculaires et vasculaires périphériques.

An opening for a 2-year fellowship in Vascular & Interventional Radiology at the University of Toronto 2021-2023 has become available.

The Department of Radiology at Niagara Health seeks a highly skilled and motivated fellowship trained Vascular and Interventional Radiologist with a track record for providing compassionate and efficient care to join the Diagnostic Imaging Service. The candidate will be a member of a 24/7 full service interventional radiology program for the Niagara Region.

Niagara Health is one of the largest multi-site health care systems in Ontario serving 434,000 residents within the Regional Municipality of Niagara. With 700 beds, 4,500 employees, 640 physicians and a $500M budget, the NHS provides a wide range of inpatient and outpatient services across six sites encompassing operations in Fort Erie, Niagara Falls, Niagara-on-the-Lake, Port Colborne, Welland and a one million square foot state-of-the-art hospital in St. Catharines.

The transformation of healthcare service delivery across Niagara continues with planning underway to build an additional ultramodern hospital in South Niagara Falls to provide accessible and quality healthcare to residents of the Southern Region. Niagara Health is positioned, by virtue of its geography and regionally distributed resources, to exemplify the best of regional capacity with local service delivery. Strong academic partnerships are a priority for the NH as the organization builds on a robust relationship with McMaster University’s Michael G. DeGroote School of Medicine.

Current group

  • Twenty radiologist group
  • Interventional radiology call is shared equally with 1:4 frequency

The Practice

  • The successful candidate is expected to participate fully in a co-operative way with the other members encompassing all image guided interventional procedures included vascular access, arterial, hepatobiliary, and genitourinary interventions including a strong interventional oncology program with tumor ablation and TACE.
  • The candidate is expected to participate in other diagnostic imaging rotations including fluoroscopy, ultrasound, CT, x-ray and MRI.

Academic Affiliations

The McMaster University’s Michael G. DeGroote School of Medicine has expanded to a regional campus in Niagara, which is located at Brock University. Students at the Niagara Regional Campus complete their clinical rotations in one of the six area hospitals with teaching done by the highly skilled and motivated hospital physicians.
Opportunities for strengthening and building strong academic partnerships are a priority for Niagara Health
We are interested in Physicians who will pursue a university faculty appointment and participate in academic activities within a strong regional community hospital setting.

Tertiary Care

  • St. Joseph’s Hospital Hamilton and Hamilton Health Sciences < 1 hour away

Qualifications Required

The successful applicant must:

  • Have or be eligible for Independent CPSO License
  • Fellowship training in all aspects of vascular and non-vascular interventional radiology and interventional oncology
  • Strong interpretive skills in all imaging modalities including CT, MRI, Ultrasound and X-Ray
  • Excellent clinical skills are a prerequisite for this high volume department
  • Must have a strong interest and/or existing background in clinical/academic radiology
  • Be eligible for academic appointment
  • Hold valid OHIP billing number and have billing privileges

Closing Date: May 28, 2021

Contact

Medical Affairs Office
Niagara Health
905-378-4647 Ext. 44224
Medicalaffairs@niagarahealth.on.ca

On behalf of:
Dr. Amit Mehta
Deputy Chief of Diagnostic Imaging
Niagara Health

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Tara Utley compte plus de 20 ans d’expérience dans l’industrie de l’imagerie médicale, tant en environnement clinique comme technologue d’intervention (technologue en radiation médicale [TRM]) qu’en formation avec sa plus récente expérience de chef de produit.

L’instauration de l’examen de surspécialisation en radiologie d’intervention conduit les radiologues d’intervention (RI) de tout le Canada à devoir prendre une décision : ai-je vraiment besoin de passer un autre examen du Collège royal?

La radiologie d’intervention est un domaine qui offre des occasions infinies, et ce qui fait de cette spécialité l’une des plus stimulantes de la médecine, c’est en partie son évolution constante.

Le présent segment présentera un bon coup découvert par un radiologue d’intervention vasculaire débutant pendant sa résidence ou sa surspécialisation, afin d’en faire bénéficier toute la communauté. Le premier bon coup nous vient du Dr Joel Woodley-Cook, du Scarborough Health Network

À Kelowna, dernièrement, le Dr De Korompay a fait partie d’un groupe qui a commencé à offrir des traitements endovasculaires d’AVC ischémiques aigus, mettant sur pied un programme de A à Z.

Depuis 2015, le Dr Woodley-Cook exerce la radiologie diagnostique et d’intervention à Scarborough, où il a orienté plus particulièrement sa pratique vers les interventions d’hémodialyse et le traitement des maladies vasculaires périphériques.

La Dre Sinclair a une pratique de RI diversifiée, dans laquelle elle met fortement l’accent sur les malformations vasculaires et vasculaires périphériques.

An opening for a 2-year fellowship in Vascular & Interventional Radiology at the University of Toronto 2021-2023 has become available.

Tara Utley, Chef de produit principale Rayons X/Vasculaire, Canon Médicaux Canada

Tara Utley, Chef de produit principale Rayons X/Vasculaire, Canon Médicaux Canada

Tara Utley compte plus de 20 ans d’expérience dans l’industrie de l’imagerie médicale, tant en environnement clinique comme technologue d’intervention (technologue en radiation médicale [TRM]) qu’en formation avec sa plus récente expérience de chef de produit. Arrivée chez Canon Systèmes médicaux Canada (anciennement Toshiba) en 2010 comme spécialiste des applications cliniques, elle a passé sept ans chez Canon Medical Systems USA, en tant que responsable des programmes de formation en intervention et chef de produit à Tustin, en Californie. Depuis septembre 2020, elle occupe son poste actuel au siège social de Canon Systèmes médicaux Canada, à Markham, en Ontario.


Qu’est-ce qui vous rend la plus enthousiaste chez Canon Systèmes médicaux?

L’innovation et la volonté inébranlable de mettre au point et de perfectionner les logiciels et appareils de pointe actuels en vue d’améliorer le parcours et les résultats des patients m’enthousiasment au plus haut point. Notre tout nouvel appareil de tomodensitométrie 4D Alphenix 4D CT, qui vient tout juste d’être approuvé par Santé Canada, en est un excellent exemple. L’Alphenix 4D CT de Canon est une combinaison de notre appareil d’intervention le plus mobile, Alphenix, avec notre tomodensitomètre de pointe Aquilion ONE Genesis, en un appareil polyvalent à haut rendement. L’intégration d’une suite logicielle complète de tomodensitométrie dans un laboratoire d’intervention fonctionnel permet d’améliorer le flux des patients, qui n’ont notamment plus besoin d’être transférés entre les différents services. Puisqu’il offre la possibilité de diagnostiquer, planifier, traiter et vérifier dans une seule et même pièce, l’Alphenix 4D CT aide les radiologues d’intervention à effectuer les interventions les plus complexes rapidement et efficacement en toute sécurité.

Y a-t-il des technologies novatrices que vous aimeriez présenter à nos lecteurs dans les cartons de Canon Systèmes médicaux?

Oui, notre nouveau capteur à haute définition 30 cm x 40 cm (12” x 16”) pour la radiologie d’intervention.

En 2018, Canon Systèmes médicaux a lancé le tout premier capteur à haute définition au monde. Un véritable capteur deux en un offrant une résolution spatiale plus de deux fois plus grande que celle des capteurs classiques. Le capteur à haute définition est équipé des champs de vision classiques, mais aussi de trois modes de champs de vision en haute définition, qui offrent au responsable de l’intervention une visibilité inédite. Les chirurgiens utilisent des microscopes dans les blocs opératoires depuis des décennies; désormais, les radiologues d’intervention peuvent faire de même dans leurs laboratoires. Cette technologie offre un haut degré de certitude pendant les interventions difficiles, ce qui en augmente l’efficacité et améliore le flux de travail. L’amélioration de l’efficacité et de la précision du positionnement des appareils et/ou des traitements entraîne une diminution du besoin d’imagerie de pointe complémentaire, ce qui permet par conséquent une diminution de la dose et de l’exposition, tant pour le patient que pour l’opérateur.

Lors de son lancement, en 2018, le capteur à haute définition comportait un capteur plan de 30 cm x 30 cm (12” x 12”) monté sur notre système d’arceau fixé au sol. Après le succès de cet appareil dans plus de 50 établissements du monde entier, nous sommes très heureux d’annoncer que le capteur à haute définition est désormais offert en 30 cm x 40 cm (12” x 16”) sur notre système d’arceau fixé au plafond Sky+. Nous nous attendons à obtenir l’approbation de Santé Canada au cours de l’été 2021.

Quelle sorte de partenariats pensez-vous que les radiologues d’intervention de première ligne et les équipes de radiologie d’intervention pourront conclure avec l’industrie à l’avenir?

Aujourd’hui, les partenariats entre l’industrie dans son ensemble et les radiologues et technologues d’intervention de première ligne revêtent une plus grande importance que jamais. Canon Systèmes médicaux Canada soutient avec fierté l’association CAIR. Nous partageons la mission de rendre les traitements de radiologie d’intervention accessibles au plus grand nombre de patients du Canada, grâce à notre travail commun de formation et aux produits et solutions élaborés par Canon Systèmes médicaux. Ensemble, nous offrirons des soins de meilleure qualité aux patients du Canada. Par ailleurs, Canon Systèmes médicaux travaille en partenariat avec des clients du monde entier afin de mettre en place un forum où les experts pourront communiquer entre eux sans intermédiaire au sujet de l’Alphenix 4D CT et du nouveau capteur à haute définition. Le partage de bonnes pratiques permettra de favoriser encore davantage les avancées en radiologie d’intervention dans le monde entier.

Si un radiologue d’intervention avait une idée de nouvel appareil ou de nouvelle technologie, quelles seraient les premières étapes en vue de sa mise au point?

Chez Canon Systèmes médicaux monde, notre unité commerciale vasculaire gère les cycles de vie des produits de bout en bout, de l’élaboration à l’installation, la production et l’assistance. Pour ce qui est du Canada, nos équipes de soutien applicatif, clinique et de services techniques sont à l’écoute de nos clients de première ligne et transmettent les commentaires qu’ils reçoivent du terrain. Ces renseignements sont envoyés aux ingénieurs, qui les mettent par la suite en application lors de l’élaboration et du perfectionnement de nos produits et technologies. Qui plus est, en complément du rôle central du Japon, nous avons mis en place des centres de développement en Amérique du Nord, en Europe et en Asie, ce qui nous permet d’effectuer des activités de recherche et développement qui mettent à profit l’expérience accumulée dans le monde entier. Notre objectif étant de révolutionner les technologies et de créer de la valeur ajoutée, nous nous engageons de façon proactive dans la recherche en collaboration avec bon nombre de radiologues d’intervention, d’établissements médicaux de pointe et d’universités.

Si j’ai bien compris, avant de passer du côté commercial de la radiologie d’intervention, vous étiez vous-même technologue d’intervention à l’Hôpital pour enfants malades de Toronto. Quel a été le principal changement que vous avez constaté dans le domaine interventionnel?

Selon moi, le plus grand changement a été l’accent porté de plus en plus sur le suivi des doses administrées. Quand j’étais technologue d’intervention, j’ai toujours porté une grande attention aux doses administrées. Par la suite, les campagnes de sensibilisation « Image Gently and Image Wisely » ont été lancées, et cela a encore augmenté ma prise de conscience sur cet enjeu. Chez Canon Systèmes médicaux, nous avons toujours favorisé le plus possible l’imagerie à faible dose. Tous nos appareils comportent une technologie avancée de limitation des doses et utilisent des techniques de gestion de dose et des outils à l’intention du personnel clinique, des administrateurs de l’établissement médical et des patients. Par exemple, l’outil de détection de la dose DoseRite DTS (Dose Tracking System) permet de visualiser en temps réel la distribution cutanée cumulative des doses administrées ainsi que la dose cutanée maximale chez un patient. Cette technologie aide à prévenir un risque potentiel de radiolésion. Elle signale également à l’opérateur d’utiliser un faisceau en éventail, un faisceau collimaté, de réduire les impulsions par seconde (PPS), d’enregistrer des séquences de fluoroscopie et d’effectuer un agrandissement en temps réel. Le système Spot Fluoro est un autre exemple de notre technologie DoseRite. C’est un peu comme avoir un faisceau lumineux adaptable sur l’image de référence, ce qui permet au clinicien de choisir et de visualiser directement la région d’intérêt tout en disposant des éléments environnants pour référence, mais sans exposer la zone située en dehors de la région d’intérêt.


* Ce contenu a été créé par les rédacteurs de CAIR au nom de Canon Médical en tant que partenaires de l’industrie de CAIR. CAIR ne fait aucune réclamation, promesse ou garantie quant à l’exactitude, l’exhaustivité ou l’adéquation du contenu, et décline expressément toute responsabilité pour les erreurs et les omissions dans le contenu de cet article. La mention d’un produit, d’un processus ou d’un service commercial particulier, ou l’utilisation d’un nom commercial, d’une entreprise ou d’une société est faite à titre d’information et pour des raisons de commodité pour le public, et ne constitue pas une approbation, une recommandation ou une préférence de la part de CAIR.

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L’instauration de l’examen de surspécialisation en radiologie d’intervention conduit les radiologues d’intervention (RI) de tout le Canada à devoir prendre une décision : ai-je vraiment besoin de passer un autre examen du Collège royal?

La radiologie d’intervention est un domaine qui offre des occasions infinies, et ce qui fait de cette spécialité l’une des plus stimulantes de la médecine, c’est en partie son évolution constante.

Le présent segment présentera un bon coup découvert par un radiologue d’intervention vasculaire débutant pendant sa résidence ou sa surspécialisation, afin d’en faire bénéficier toute la communauté. Le premier bon coup nous vient du Dr Joel Woodley-Cook, du Scarborough Health Network

À Kelowna, dernièrement, le Dr De Korompay a fait partie d’un groupe qui a commencé à offrir des traitements endovasculaires d’AVC ischémiques aigus, mettant sur pied un programme de A à Z.

Depuis 2015, le Dr Woodley-Cook exerce la radiologie diagnostique et d’intervention à Scarborough, où il a orienté plus particulièrement sa pratique vers les interventions d’hémodialyse et le traitement des maladies vasculaires périphériques.

La Dre Sinclair a une pratique de RI diversifiée, dans laquelle elle met fortement l’accent sur les malformations vasculaires et vasculaires périphériques.

An opening for a 2-year fellowship in Vascular & Interventional Radiology at the University of Toronto 2021-2023 has become available.

L’instauration de l’examen de surspécialisation en radiologie d’intervention conduit les radiologues d’intervention (RI) de tout le Canada à devoir prendre une décision : ai-je vraiment besoin de passer un autre examen du Collège royal? L’idée de passer volontairement un nouvel examen du Collège royal parait un peu folle pour bon nombre de RI en exercice, peut-être à cause du traumatisme latent qu’a engendré chez eux l’examen de radiologie diagnostique. En tous cas, le tout premier examen a eu lieu. J’ai été l’une des RI en exercice à décider de passer cet examen, et en fait, nous n’étions pas très nombreux. En tant que nouvelle rédactrice de CAIR Express, j’ai pensé qu’il s’agirait là d’une excellente occasion de présenter quelques-uns des autres RI du pays ayant fait le choix de passer cet examen, ainsi que leurs motivations.


Dr. Cook and his study team

Le premier RI auquel j’ai parlé était le Dr Bob Cook. J’avais assisté à l’une de ses conférences lors d’un congrès de CAIR (CIRA, à l’époque) à Montréal, sur la mise en place d’un cabinet de RI vasculaire à Corner Brook, à Terre-Neuve-et-Labrador. Sa présentation comportait un meme contenant mon mot de 4 lettres préféré… Il m’a tout de suite été sympathique.

NS: Bonjour Dr Cook, merci de me consacrer un peu de temps. Depuis combien de temps êtes-vous en exercice, et pourriez-vous décrire brièvement votre travail?

BC: J’exerce depuis 2008 à Corner Brook (Terre-Neuve-et-Labrador). Cette localité compte environ 18 000 habitants et dessert un bassin d’approximativement 75 000 personnes. J’ai effectué ma résidence en radiologie à St. John’s et ma surspécialisation à l’Université McMaster. Je fais principalement de la radiologie d’intervention « simple », notamment des accès veineux, des interventions génito-urinaires et vasculaires périphériques. Je fais également de la radiologie diagnostique générale. Nous n’avons pas de résidents en radiologie, et encore moins de fellows.

NS: Pourquoi avez-vous décidé de passer l’examen de radiologie d’intervention du Collège royal en tant que RI en exercice, et pourquoi pensez-vous qu’il est important de le faire?

BC: Cet examen entérine la légitimité du côté clinique de la radiologie d’intervention. Les RI sont de plus en plus nombreux à passer davantage de temps dans les hôpitaux et les cliniques pour voir les patients en consultation, s’occuper des admissions et du suivi clinique de leurs propres patients. Même si l’examen de radiologie d’intervention du Collège royal n’est pas obligatoire pour étendre son activité à la pratique clinique, il reflète la volonté de bénéficier du plus haut niveau de formation accessible actuellement dans ce pays.

NS: Avez-vous des conseils à donner sur la préparation à l’examen (des conseils généraux, bien sûr, puisque le Collège royal n’acceptera pas que l’on donne trop de détails)?

BC: Je n’avais vraiment pas beaucoup de temps à consacrer à l’étude, j’ai quatre jeunes enfants à la maison et je ne voulais pas qu’ils oublient à quoi je ressemble. L’année précédant l’examen, j’ai feuilleté le JVIR (Journal of Vascular and Interventional Radiology) en me focalisant sur les domaines de radiologie d’intervention que je ne vois pas beaucoup dans ma pratique, comme la radio-oncologie d’intervention. Mon objectif principal était de mémoriser les détails des essais cliniques. Un mois avant l’examen, j’ai travaillé environ une heure par soir à la préparation de l’examen, en me concentrant sur la liste de lectures fournie par le Collège royal. En définitive, j’ai trouvé que l’examen était bien représentatif de la pratique générale de la radiologie d’intervention.

NS: Je suis entièrement d’accord. Merci beaucoup d’avoir pris le temps de me parler, et félicitations pour votre certificat de surspécialité en radiologie d’intervention du Collège Royal.


Dr. Cori Caughlin

Je suis ensuite partie à la recherche d’un RI universitaire qui avait passé l’examen, et j’en ai trouvé une à Calgary. Pendant longtemps, la Dre Cori Caughlin a été la seule femme RI dont j’avais entendu parler dans l’Ouest du Canada, ce qui faisait d’elle une célébrité à mes yeux. En tous cas, une plus grande célébrité que n’importe laquelle des Kardashian.

NS: Depuis combien de temps êtes-vous en exercice, et pourriez-vous décrire brièvement votre travail?

CC: J’exerce la radiologie d’intervention depuis presque 11 ans à l’Université de Calgary. Je travaille principalement au Foothills Medical Centre (FMC), mais aussi au South Health Campus et à l’Advanced Spinal Care Centre de la clinique EFW Radiology, en prise en charge de la douleur. Je suis généraliste, mais mes dossiers sont le reflet de la population des patients en oncologie, traumatologie, affections hépatobiliaires et en hémodialyse de ces hôpitaux. Je suis actuellement directrice du programme de surspécialisation en radiologie d’intervention au FMC. Même si je travaille dans un environnement universitaire, ma contribution personnelle à la recherche est limitée.

NS:  Pourquoi avez-vous décidé de passer l’examen de radiologie d’intervention du Collège royal en tant que RI en exercice, et pourquoi pensez-vous qu’il est important de le faire?

CC: Au Canada, les responsables dans notre spécialité ont beaucoup travaillé auprès du Collège royal pour obtenir la reconnaissance d’une surspécialité en radiologie d’intervention; j’estime qu’il est de notre responsabilité de poursuivre ce travail en obtenant la certification permettant d’offrir aux patients les soins d’excellente qualité que nous leur offrons depuis des années. Je pense qu’il est important que les autres spécialistes reconnaissent les radiologues d’intervention en tant que cliniciens afin de poursuivre la diversification des services que nous sommes en mesure d’offrir aux patients. C’est un lent processus, mais il est important, selon moi.

NS: Avez-vous des conseils à donner sur la préparation à l’examen (des conseils généraux, bien sûr, puisque le Collège royal n’acceptera pas que l’on donne trop de détails)?

CC: J’ai trouvé que l’examen de RI du Collège royal était une évaluation pratique des compétences générales en radiologie d’intervention, qu’il était relativement simple et qu’il reflétait les nombreuses questions que nos patients et les médecins traitants nous posent au quotidien, ainsi que les consignes de sécurité pour différentes interventions. Il comportait aussi de superbes images.

NS: Je suis d’accord, j’ai trouvé les images excellentes, il a sans aucun doute fallu du temps pour élaborer cet examen. Dre Caughlin, merci beaucoup d’avoir pris le temps de répondre à mes questions, et félicitations pour votre certificat de surspécialité en radiologie d’intervention du Collège Royal.


Et voilà, vous savez maintenant pourquoi deux RI en exercice de régions différentes du pays ont choisi de passer l’examen de radiologie d’intervention du Collège royal. Il s’agit d’un engagement exigeant, mais qui renforce la légitimité de la radiologie d’intervention en tant que surspécialité centrée sur la qualité et sur les soins aux patients dans leur intégralité, et qui met également l’accent sur le côté clinique de cette discipline. Merci d’envisager de vous inscrire à l’examen à l’adresse suivante : https://www.royalcollege.ca/rcsite/credentials-exams/exams-register-f

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Tara Utley compte plus de 20 ans d’expérience dans l’industrie de l’imagerie médicale, tant en environnement clinique comme technologue d’intervention (technologue en radiation médicale [TRM]) qu’en formation avec sa plus récente expérience de chef de produit.

L’instauration de l’examen de surspécialisation en radiologie d’intervention conduit les radiologues d’intervention (RI) de tout le Canada à devoir prendre une décision : ai-je vraiment besoin de passer un autre examen du Collège royal?

La radiologie d’intervention est un domaine qui offre des occasions infinies, et ce qui fait de cette spécialité l’une des plus stimulantes de la médecine, c’est en partie son évolution constante.

Le présent segment présentera un bon coup découvert par un radiologue d’intervention vasculaire débutant pendant sa résidence ou sa surspécialisation, afin d’en faire bénéficier toute la communauté. Le premier bon coup nous vient du Dr Joel Woodley-Cook, du Scarborough Health Network

À Kelowna, dernièrement, le Dr De Korompay a fait partie d’un groupe qui a commencé à offrir des traitements endovasculaires d’AVC ischémiques aigus, mettant sur pied un programme de A à Z.

Depuis 2015, le Dr Woodley-Cook exerce la radiologie diagnostique et d’intervention à Scarborough, où il a orienté plus particulièrement sa pratique vers les interventions d’hémodialyse et le traitement des maladies vasculaires périphériques.

La Dre Sinclair a une pratique de RI diversifiée, dans laquelle elle met fortement l’accent sur les malformations vasculaires et vasculaires périphériques.

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Mary Jiayi Tao MD, PGY4 Diagnostic Radiology, University of Toronto

Mary Jiayi Tao MD, PGY4 Diagnostic Radiology, University of Toronto

Qu’avez-vous fait pendant votre résidence (et/ou en faculté de médecine) pour vous conforter dans votre décision de devenir radiologue d’intervention?

Il y a plusieurs facteurs qui m’ont confortée dans mon souhait d’orientation vers la radiologie d’intervention.

  • L’exposition précoce: J’ai participé à un projet de recherche en radiologie d’intervention pendant ma première année d’études de médecine. Ainsi, j’ai eu l’occasion d’observer le travail de radiologues d’intervention et de passer du temps avec eux au sein du service, ce qui a été réellement passionnant et qui m’a ouvert les yeux. Une fois en résidence, je savais que je voulais envisager une surspécialisation potentielle en radiologie d’intervention à la suite de mes précédentes expositions à ce domaine, j’ai donc pris mes dispositions pour effectuer des rotations en RI durant ma formation (dès ma 2e année de résidence) et j’ai fait des quarts d’observation afin de m’aider à prendre une décision éclairée. J’ai été convaincue dès la première semaine.
  • Les conférences: J’ai eu l’occasion d’assister à certaines conférences en RI au cours de mes années d’étude de médecine et de résidence; j’y ai découvert certains types d’interventions novatrices ainsi que les derniers progrès de la recherche de pointe en radiologie d’intervention. C’est vraiment enthousiasmant d’entrevoir l’avenir de cette spécialité.
  • Le mentorat: Il est extrêmement important d’avoir des mentors pour nous guider, nous aider et nous faire sortir de notre zone de confort. J’ai eu la très grande chance de travailler aux côtés de nombreux radiologues d’intervention talentueux et renommés pendant ma formation jusqu’à maintenant. Leur engagement inébranlable envers le mentorat m’a aidée à chaque étape de mon parcours.

Comment s’est passé le processus de candidature?

Ça a été un processus enthousiasmant, mais aussi angoissant, puisque cette année il avait lieu au tout début de la pandémie de COVID-19, ce qui a ajouté encore un degré d’incertitude. Les échéances et les exigences des différents programmes de surspécialisation varient selon les programmes, alors il était crucial d’être bien organisée, de préparer les documents à l’avance et de faire un suivi des candidatures afin de les mener à terme. Cette année, tous les entretiens de surspécialisation ont été effectués à distance, ce qui présente à la fois des avantages et des inconvénients. Il est évident que j’aurais préféré me déplacer pour visiter les établissements et les villes pour chaque programme et rencontrer mes interlocuteurs en personne, mais les entretiens virtuels ont permis d’économiser beaucoup de temps et d’argent.

À quoi vous attendez-vous en tant que fellow?

Je m’attends à devoir relever défi sur défi, à engranger le plus de connaissances et à acquérir le plus de compétences possible au cours de mon année de surspécialisation.

Qu’est-ce qui vous motive dans la radiologie d’intervention vasculaire?

La radiologie d’intervention est un domaine qui offre des occasions infinies, et ce qui fait de cette spécialité l’une des plus stimulantes de la médecine, c’est en partie son évolution constante. Bon nombre des interventions réalisées aujourd’hui n’existaient même pas il y a 10 ou 15 ans! L’étendue des pathologies et des stratégies de prise en charge est incroyable et en expansion permanente, alors je sais que je serai toujours stimulée dans cette spécialité.

 

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La radiologie d’intervention est un domaine qui offre des occasions infinies, et ce qui fait de cette spécialité l’une des plus stimulantes de la médecine, c’est en partie son évolution constante.

Le présent segment présentera un bon coup découvert par un radiologue d’intervention vasculaire débutant pendant sa résidence ou sa surspécialisation, afin d’en faire bénéficier toute la communauté. Le premier bon coup nous vient du Dr Joel Woodley-Cook, du Scarborough Health Network

À Kelowna, dernièrement, le Dr De Korompay a fait partie d’un groupe qui a commencé à offrir des traitements endovasculaires d’AVC ischémiques aigus, mettant sur pied un programme de A à Z.

Depuis 2015, le Dr Woodley-Cook exerce la radiologie diagnostique et d’intervention à Scarborough, où il a orienté plus particulièrement sa pratique vers les interventions d’hémodialyse et le traitement des maladies vasculaires périphériques.

La Dre Sinclair a une pratique de RI diversifiée, dans laquelle elle met fortement l’accent sur les malformations vasculaires et vasculaires périphériques.

An opening for a 2-year fellowship in Vascular & Interventional Radiology at the University of Toronto 2021-2023 has become available.

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La technique Woggle pour obtenir l’hémostase sur l’abord vasculaire pour hémodialyse

C’est le Dr Martin E. Simons et le Dr Dheeraj K. Rajan qui m’ont appris la technique Woggle (Simons, Rajan et Clark 2003) au Toronto Western Hospital, en fin de 5e année de résidence. Cette méthode de type « MacGyver » est très pratique pour obtenir l’hémostase dans n’importe quelle voie d’abord superficielle (je l’ai aussi utilisée lors de l’accès à des greffons de pontage aortocoronarien superficiel en PET), mais à l’origine, elle a été décrite dans l’abord vasculaire pour hémodialyse.

Pour la technique Woggle, on effectue une suture en bourse superficielle autour du point d’entrée de la gaine, avec ses extrémités enfilées par l’embout coupé du dilatateur de la gaine qui sert de collier de tension. Les sutures sont ensuite passées à travers un robinet d’arrêt de type Stopcock (ou similaire), qui permet le serrage et le blocage du dispositif. Cette technique peut être utilisée sur des abords avec ou sans incision cutanée.

La technique Woggle, quand elle est bien réalisée, évite de devoir obtenir une hémostase manuellement, ce qui peut être particulièrement intéressant chez les patients sous anticoagulants ou qui reçoivent de l’héparine pendant l’intervention. Cette technique peut également permettre d’éviter la survenue du scénario catastrophe de tous les fellows et résidents : la création d’une thrombose à cause d’une compression manuelle trop intense.

Matériel (Figure 1A) :

  1. Du fil de suture. J’utilise un monofilament de 2-0 ou 3-0 avec une aiguille tranchante courbe.
  2. Un embout de dilatation de gaine, coupé approximativement à 3 cm (la partie coupée peut être propulsée en l’air, alors je la coupe [ou mon assistant] sous un linge stérile). Il est aussi possible d’utiliser un introducteur de fil guide.
  3. Un robinet d’arrêt (ou équivalent).

Method (Figure 1B and 1C):

  1. Effectuer une suture en bourse superficielle autour de la gaine. Attention de ne pas suturer la gaine et/ou le vaisseau d’abord. J’injecte parfois de la lidocaïne afin de créer un tampon si le vaisseau est juste sous la peau.
  2. Retirer l’aiguille et passer les deux extrémités par l’extrémité biseautée du dilatateur de gaine préalablement coupé. Couper la suture à ras[AG1] , en laissant entre 10 et 15 cm de longueur de fil.
  3. Une fois les extrémités libres du fil de suture introduites à travers l’embout du dilatateur, les passer à travers le robinet d’arrêt.
  4. Dire à votre assistant de se mettre à l’abri (giclements de sang) et retirer la gaine tout en tournant le robinet d’arrêt pour resserrer la suture. Comme le fil de suture peut se rompre si l’on tourne trop, un quart de tour suffit habituellement.
  5. Laisser en place pendant 20 à 120 minutes (nos patients récupèrent pendant deux heures, donc je demande à déconnecter le Woggle juste avant la sortie du patient, cette durée réduisant le risque de saignement si le patient est sous anticoagulants). .
  6. Au moment du retrait du Woggle, tourner la valve dans la direction opposée à celle utilisée pour le blocage, puis retirer doucement l’embout du dilatateur (bague rigide) afin de libérer le dispositif. S’il y a encore des signes de saignement artériel, il est possible de resserrer et de bloquer de nouveau le dispositif. S’il n’y a plus de signe de saignement artériel, la suture peut être retirée. Il peut être nécessaire d’appliquer une légère pression manuelle pendant un instant en raison d’un léger suintement lors du retrait de la suture.

Remarque : Si quelqu’un d’autre s’occupe de retirer le Woggle, il est important de bien former cette personne pour s’assurer qu’elle sait comment cela fonctionne et comment le démonter et le remonter comme il faut.

Figure: The Woggle. Equipment (A); Woggle created with sheath in situ (B); Woggle in action (C).

Figure: The Woggle. Equipment (A); Woggle created with sheath in situ (B); Woggle in action (C).

 

Reference:

Simons, Martin E., Dheeraj K. Rajan, and Timothy W. I. Clark. 2003. “The Woggle Technique for Suture Closure of Hemodialysis Access Catheterization Sites.” Journal of Vascular and Interventional Radiology: JVIR 14 (4): 485–88.

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The Department of Radiology at Niagara Health seeks a highly skilled and motivated fellowship trained Vascular and Interventional Radiologist with a track record for providing compassionate and efficient care to join the Diagnostic Imaging Service.

Tara Utley compte plus de 20 ans d’expérience dans l’industrie de l’imagerie médicale, tant en environnement clinique comme technologue d’intervention (technologue en radiation médicale [TRM]) qu’en formation avec sa plus récente expérience de chef de produit.

L’instauration de l’examen de surspécialisation en radiologie d’intervention conduit les radiologues d’intervention (RI) de tout le Canada à devoir prendre une décision : ai-je vraiment besoin de passer un autre examen du Collège royal?

La radiologie d’intervention est un domaine qui offre des occasions infinies, et ce qui fait de cette spécialité l’une des plus stimulantes de la médecine, c’est en partie son évolution constante.

Le présent segment présentera un bon coup découvert par un radiologue d’intervention vasculaire débutant pendant sa résidence ou sa surspécialisation, afin d’en faire bénéficier toute la communauté. Le premier bon coup nous vient du Dr Joel Woodley-Cook, du Scarborough Health Network

À Kelowna, dernièrement, le Dr De Korompay a fait partie d’un groupe qui a commencé à offrir des traitements endovasculaires d’AVC ischémiques aigus, mettant sur pied un programme de A à Z.

Depuis 2015, le Dr Woodley-Cook exerce la radiologie diagnostique et d’intervention à Scarborough, où il a orienté plus particulièrement sa pratique vers les interventions d’hémodialyse et le traitement des maladies vasculaires périphériques.

La Dre Sinclair a une pratique de RI diversifiée, dans laquelle elle met fortement l’accent sur les malformations vasculaires et vasculaires périphériques.

An opening for a 2-year fellowship in Vascular & Interventional Radiology at the University of Toronto 2021-2023 has become available.

Facetime interview: Dr. Nicolette Sinclair with Dr. Nevin De Korompay

J’ai rencontré le Dr Nevin De Korompay (NDK) il y a 10 ans, alors que nous étions tous deux en lice pour devenir représentant ou représentante des résidents au Conseil d’administration de l’Association canadienne des radiologistes (CAR). Je ne dévoilerai pas le nom de la personne choisie, mais je pense qu’il m’en veut encore. La CAR a financé notre déplacement à tous les deux pour assister au congrès annuel de l’American College of Radiology (ACR), à Washington D.C., puisque nous jouions tous les deux au soccer (voir ma bio) et que nous venions des Prairies (NDK est originaire de Winnipeg)… Nous nous sommes bien entendus. Comme nous travaillons maintenant tous deux en radiologie d’intervention (RI), nous sommes restés en contact : nous nous consultons régulièrement sur certains cas et nous envoyons des photos de nos chiens. À Kelowna, dernièrement, le Dr De Korompay a fait partie d’un groupe qui a commencé à offrir des traitements endovasculaires d’AVC ischémiques aigus, mettant sur pied un programme de A à Z. Cela m’a intriguée, sachant qu’il était, comme moi, un radiologue d’intervention « corporel ». Je sais aussi que le thème des RI « corporels » qui réalisent des thrombectomies endovasculaires (TE) est matière à débat. En fait, je me souviens justement très clairement d’un débat sur ce sujet, qui avait eu lieu lors d’un précédent congrès de CAIR (CIRA, à l’époque). Étant donné la politesse légendaire des Canadiens, je pense que personne n’avait eu le dernier mot, mais j’ai quand même voulu en parler avec NDK pour en apprendre un peu plus. – Dre. Nicollette Sinclair

NS: Bonjour Nevin! J’espère que tout va bien pour toi à Kelowna. Peux-tu me parler un peu de ta formation et de ta pratique avant l’entrée de la TE dans ta vie?

NDK: Eh bien j’ai effectué ma résidence en radiologie à Winnipeg, et mon stage de surspécialisation (fellowship) en radiologie d’intervention à Vancouver. J’avais réalisé quelques angiographies cérébrales diagnostiques pendant ma résidence, mais aucune pendant ma surspécialisation. J’ai commencé à exercer à Kelowna en 2016, et j’ai participé à l’élaboration d’une pratique de « RI corporelle » évolutive, comportant beaucoup de radio-oncologie d’intervention, mais aussi des interventions sur l’aorte ou sur des malformations vasculaires, des embolisations des fibromes utérins, des embolisations des artères prostatiques et des dialyses. Je devrais aussi mentionner que les angiographies cérébrales diagnostiques étaient effectuées au département de RI du Kelowna General Hospital, ce qui a sans doute préparé le terrain pour la TE.

Nous sommes quatre RI dans notre cabinet qui compte 16 radiologues, nous avons une clinique privée et desservons également le Kelowna General Hospital (KGH).

NS: Comment la TE a-t-elle fait son entrée dans votre cabinet? Peux-tu nous décrire ta pratique et ton environnement en matière de TE?

NDK: D’habitude, pour tous les cas d’AVC aigus, on réalisait un examen de tomodensitométrie (TDM) ou d’angiographie par tomodensitométrie (ATDM) au KGH ou dans un des hôpitaux voisins avant de transférer le patient vers les basses-terres continentales s’il était candidat à une TE. Le transfert de ces patients prend évidemment du temps, et comme tu l’as peut-être entendu une ou deux fois, le temps, c’est du cerveau. Le transfert prenait souvent encore plus de temps en hiver à cause des conditions difficiles rendant le déplacement dangereux. En fait, il était rare qu’un patient arrive à Vancouver à temps pour que l’on puisse encore envisager une TE ou que l’on obtienne des résultats de qualité. Le KGH est un centre de soins tertiaires pour l’Okanagan qui dispose de 441 lits. Il s’agit d’un hôpital universitaire de l’UBC qui participe aux rotations pour la Faculté de médecine.

Il y a environ trois ans, alors que nous poursuivions notre travail de « RI corporelle », le service de neurologie et l’administration nous ont demandé de mettre un programme de TE en place, à la suite du succès de centres comme ceux de Kingston et de Victoria qui n’étaient auparavant pas en mesure d’offrir les meilleurs soins possibles aux patients locaux. Les neurologues spécialistes des AVC ont mis en place une équipe pluridisciplinaire sur l’AVC afin d’améliorer les résultats au sein de l’équipe du KGH; cette équipe comporte désormais des neurologues, des coordonnateurs pour les patients, des infirmières-pivots, de futurs RI ainsi qu’un neurochirurgien endovasculaire.

Kelowna EVT Team in Action

Nous avons actuellement cinq opérateurs de TE, quatre radiologues d’intervention et un neurochirurgien endovasculaire. C’est un groupe formidable, et je tiens à les nommer : la Dre Brooke Cairns, le Dr Paul Kurkjian, le Dr Wayne Tonogai et moi-même pour la radiologie d’intervention, et le Dr Mike Tso pour la neurochirurgie. Tous les cas sont examinés de façon collégiale; même après plusieurs heures, si l’un d’entre nous est disponible, il analyse les examens d’imagerie et donne son avis. Tous les cas sont traités avec deux opérateurs en salle d’opération : le premier est de garde et le deuxième est l’un des autres, qui est disponible et sobre. Il arrive que nous soyons trois ou quatre sur place. Nous avons réalisé notre première TE en 2019; depuis, nous en avons effectué plus de 50 autres. Dernièrement, nous avons commencé un programme d’accès radial, principalement pour ne pas fâcher le Dr Darren Klass.

Nous participons à des tournées hebdomadaires sur les AVC et à des conférences pluridisciplinaires mensuelles avec le groupe de Victoria, nous présentons des études de cas, des techniques et des résultats. Nous avons des réunions mensuelles sur la qualité avec des représentants des services de radiologie, neurologie, chirurgie, anesthésie, des soins infirmiers, des technologues et même des techniciens ambulanciers paramédicaux. Les chiffres et les résultats sont analysés et examinés en permanence. Il s’agit sans aucun doute d’un travail d’équipe, et nous ne serions tout simplement pas capables d’offrir un tel service sans le soutien d’une multitude de partenaires ainsi que de toute l’infrastructure mise en place en coulisses. Cela représente beaucoup de travail, mais c’est un travail gratifiant..

NS: Quelle formation complémentaire as-tu effectuée?

NDK: Des responsables de tout le Canada sont venus à Kelowna pour des démonstrations d’appareils de laboratoire et du mentorat, nous avons visité d’autres établissements de TE et nous avons eu l’immense chance de bénéficier de mentorat de la part d’autres établissements de Colombie-Britannique dans lesquels des RI « corporels » effectuent des interventions sur des AVC en phase aiguë, comme New Westminster et Victoria. Ensuite, il nous a fallu nous lancer. Au départ, nous sélectionnions les cas avec beaucoup de soin et le programme n’était accessible que pendant certaines plages horaires fixes, mais maintenant c’est un programme qui tourne 24 h sur 24, 7 jours sur 7.

Collage of clot retrieved by Kelowna EVT team

NS: Avez-vous été critiqués parce que vous étiez des RI « corporels » réalisant de la neuroradiologie d’intervention? Comment réagissez-vous à de telles critiques?

NDK: Probablement. Pas tellement directement… Mais les réunions se sont faites plus rares avec la pandémie. Au début, nous avions toujours peur de faire un faux pas, de recevoir des critiques fondées et de mettre en péril les patients ou l’avenir du programme. Cette peur n’a pas entièrement disparu. Comme j’ai déjà participé au traitement de tels cas, je comprends les inquiétudes de nos collègues neuroradiologues d’intervention pour le maintien de la qualité des soins au patient. J’ai aussi fini par accepter le fait qu’à tous les endroits où les gens ne sont pas répartis uniformément, c’est-à-dire partout, il y aura toujours des débats sur l’équité d’accès aux interventions, aux ressources et aux surspécialistes.

Je pense qu’un bon praticien, avec la bonne équipe et dans le bon environnement, devrait être capable de choisir les cas qu’il saura prendre en charge. L’essai ESCAPE, par exemple, dans lequel des RI « corporels » réalisaient des TE, est l’un des essais déterminants sur l’AVC. Actuellement, au Canada, les TE sont réalisées par des neuroradiologues d’intervention, des radiologues d’intervention « corporels », des neurochirurgiens ou des neurologues d’intervention, selon le lieu où vous vous trouvez et le jour de l’intervention. Tous nos cabinets ont une portée anecdotique en quelque sorte, puisque chacun d’entre eux se trouve dans une situation géographique unique, avec une certaine population de patients, une certaine expertise locale, des médecins traitants, un intérêt et des personnalités uniques. Nous n’aurions jamais imaginé mettre en place un programme de TE si le besoin n’avait pas été démontré et sans le soutien des cliniciens et d’une équipe pluridisciplinaire solide. Je suis toutefois prêt à admettre que j’ai aimé ce défi : travailler avec une équipe extraordinaire pour mettre en place un programme dont je suis fier et que je n’hésiterai pas à te proposer si jamais un caillot issu d’engelures à tes orteils devait te terrasser à cause d’un foramen ovale perméable non diagnostiqué alors que tu skiais à Big White.

NS: Merci, je me souviendrai de cette offre! Tu diras à tout le monde que j’étais en train de dévaler une double noire de façon experte au moment fatidique. As-tu des conseils à donner à des radiologues d’intervention à qui l’on demande d’effectuer des interventions sur des AVC en phase aiguë ou de mettre en place une telle pratique?

NDK: Au risque de sonner comme un disque rayé, il vous faut avant tout une équipe bien établie, avant même de penser à enfoncer une aiguille dans quiconque. C’est la motivation de l’équipe et le mandat qu’elle nous a donné qui nous a rassemblés, c’est grâce à elle que nous avons créé cette équipe et nous continuons à nous appuyer fortement sur cette infrastructure et cette expertise.

Dans le feu de l’action, si l’on s’habitue aux angiographies cérébrales et aux interventions sur la carotide externe, c’est-à-dire à passer le cou, psychologiquement cela facilite l’approche lors d’interventions intracrâniennes, qui sont toujours un peu intimidantes.

Je recommanderais aussi de communiquer avec d’autres établissements dans lesquels des RI interviennent sur des AVC en phase aiguë, afin de bénéficier de leur expérience, et de communiquer avec vos partenaires de l’industrie qui sont toujours heureux de faciliter l’acquisition d’expertise dans l’utilisation de produits à des tarifs psychologiques. En parlant d’équipement, vous aurez aussi besoin d’une « super-infirmière » ou d’un « super-technologue » pour gérer votre inventaire et s’assurer que tous les membres de l’équipe savent manier les cathéters munis de trous latéraux (flush catheters), les systèmes triaxiaux, les guides de 0,14, etc. Ce n’est peut-être pas du matériel auquel vous êtes habitué.

Finalement, préparez-vous à assister à de nombreuses réunions. En journée.

NS: Un énorme merci d’avoir pris le temps de me parler, félicitations à toi et à toute l’équipe pour votre excellent travail à Kelowna. Une dernière question, est-ce que tu assisterais à un congrès de CAIR à Saskatoon?

NDK: Peu de gens le savent, mais en fait je suis né à Saskatoon. #BunnyHug

NS: Oh, voilà qui explique tout!

NDK: Mais est-ce bien raisonnable de tenir le premier congrès post-pandémique de CAIR en personne à Saskatoon? Que diriez-vous de Kelowna, plutôt?

NS: Tu as raison, dans ce cas on pourrait dire le troisième congrès post-pandémique de CAIR en personne à Saskatoon?

NDK: D’accord, j’y serai! 🙂

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À Kelowna, dernièrement, le Dr De Korompay a fait partie d’un groupe qui a commencé à offrir des traitements endovasculaires d’AVC ischémiques aigus, mettant sur pied un programme de A à Z.

Depuis 2015, le Dr Woodley-Cook exerce la radiologie diagnostique et d’intervention à Scarborough, où il a orienté plus particulièrement sa pratique vers les interventions d’hémodialyse et le traitement des maladies vasculaires périphériques.

La Dre Sinclair a une pratique de RI diversifiée, dans laquelle elle met fortement l’accent sur les malformations vasculaires et vasculaires périphériques.

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Dr. Joel Woodley-Cook

Originaire de Hamilton, en Ontario, le Dr Joel Woodley-Cook y a obtenu une maîtrise en biologie des cellules endothéliales, à l’Université McMaster. Pendant toute cette période, il rêvait de la bière brune et des collines verdoyantes de Dublin, en Irlande, où il a finalement passé cinq années inoubliables pour ses études de médecine au University College de Dublin. Au fil de ses études, ses ambitions de futur chirurgien se sont progressivement transformées pour l’amener plutôt vers la radiologie d’intervention vasculaire, après des stages d’observation clinique auprès du Dr Beecroft au JDMI et des stages de recherche optionnels avec le Dr Amaral à l’Hôpital pour enfants malades (SickKids) de Toronto.

C’est lors d’un congrès de la Society of Interventional Radiology (SIR), à San Diego, que le Dr Woodley-Cook a jeté son dévolu sur la radiologie à l’Université de Toronto; la troisième personne qu’il a appelée pour fêter cela a été son amie de Hamilton, la Dre Tara Graham. Il a effectué sa formation de surspécialisation en radiologie d’intervention vasculaire au JDMI avec le Dr Sinclair, dont l’amitié l’a beaucoup aidé à traverser les affres de la formation à l’UHN et au Mt Sinaï.

Depuis 2015, le Dr Woodley-Cook exerce la radiologie diagnostique et d’intervention à Scarborough, où il a orienté plus particulièrement sa pratique vers les interventions d’hémodialyse et le traitement des maladies vasculaires périphériques.

Il aime cuisiner pour sa femme, ses deux fils et ses deux chats et aimait beaucoup assister à des manifestations sportives à Toronto ou ailleurs.

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Dr. Nicolette Sinclair

La Dre Sinclair est originaire de Prince Albert, en Saskatchewan, une localité plutôt tranquille.

Au lieu d’aller fumer au centre commercial après l’école, elle faisait du sport, ce qui l’a menée à Spartanburg, en Caroline du Sud, où elle jouait au soccer dans la NCAA (en 2e division, ne nous emballons pas).

Après quatre ans dans le Sud, elle a passé quatre belles années à Vancouver, à la faculté de médecine de l’UBC. Elle a effectué sa résidence en radiologie à Saskatoon puis un an de surspécialisation en radiologie vasculaire et d’intervention à l’UHN de Toronto, où elle a fait la connaissance du Dr Woodley-Cook qui l’a amenée voir les Blue Jays jouer pour la toute première fois.

Elle exerce la radiologie diagnostique et d’intervention à Saskatoon depuis juillet 2015. La Dre Sinclair a une pratique de RI diversifiée, dans laquelle elle met fortement l’accent sur les malformations vasculaires et vasculaires périphériques.

Elle est suffisamment inconsciente pour être la seule radiologue d’intervention à poser des cathéters de dialyse péritonéale en Saskatchewan, mais est néanmoins extrêmement satisfaite par d’autres aspects de sa pratique. Elle aime les rôles de leadership et d’administration, ce qui nous amène à nous demander si elle n’a pas reçu trop de coups à la tête quand elle jouait au soccer… On attend les résultats de l’IRM!

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2 year Interventional Radiology Fellowship – University of Toronto 2021-2023

An opening for a 2-year fellowship in Vascular & Interventional Radiology at the University of Toronto 2021-2023 has become available. This is a two year fully funded fellowship where the first year is dedicated to research activities within the division. Candidates should possess a strong research interest to be considered. A range of projects are available including but not limited to basic science and prospective trials. Projects can also be self-initiated. Following this first year, the candidate will complete a clinical year in VIR at University Health Network / Mount Sinai Hospital, Toronto.

Interested candidates are invited to contact Dr. John Kachura, Vascular & Interventional Radiologist and VIR Fellowship Director, at john.kachura@uhn.ca

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