Dr. Aida Ahrari is a second-year radiology resident at the University of Toronto. She completed her undergraduate degree at the University of Ottawa, and MD-MSc at the University of Toronto. In her role as a member of the CAIR-RFS committee, Aida is involved in organizing a variety of educational opportunities for trainees interested in the field of interventional radiology.

Aida’s research interest includes optimizing safety in the field of interventional radiology. In collaboration with a team at University Health Network, she has studied sources of error in the use of vascular closure devices and angiographic equipment. She has presented this work as an oral presentation at the 2022 annual Cardiovascular and Interventional Radiological Society of Europe (CIRSE) and the 2022 North American Society of Interventional Radiology (SIR) conferences. Aida is grateful for the mentorship of her supervisor, Dr. Sebastian Mafeld, and for the contribution of her colleagues to this work.

Aida has a strong interest in healthcare leadership and innovation, which led her to complete a Master’s in Health System Leadership and Innovation at the University of Toronto. She went on to create the Entrepreneurship in Healthcare Program—a teaching initiative that promotes innovative design to medical students through a structured curriculum delivered by physician innovators and entrepreneurs. Now in its fourth year, the program has expanded its offering to medical students across Ontario.

For Aida, working with her colleagues to develop and grow the program has been deeply rewarding. Looking ahead into the future, Aida hopes to combine her interests in medical innovation, program building, and interventional radiology.

In her spare time, Aida is an avid cyclist who rarely misses a morning spin session. She also enjoys playing tennis and hiking. Aida has a pet cat named Dalton who isn’t camera shy and has appeared in most of her zoom meetings at one point or another.

Dr. Aida Ahrari is a second-year radiology resident at the University of Toronto. She completed her undergraduate degree at the University of Ottawa, and MD-MSc at the University of Toronto. In her role as a member of the CAIR-RFS committee, Aida is involved in organizing a variety of educational opportunities for trainees interested in the field of interventional radiology.

CAIR Express - votre bulletin d'information sur la Radiologie d'intervention Canadienne à portée de la main. N'hésitez pas à le transmettre à d'autres collègues de votre réseau et, surtout, de profiter du matériel qui a été conçu pour vous.

Le prix CAIR vise à récompenser les personnes qui ont apporté des contributions importantes et rendu des services exceptionnels au domaine de la radiologie d’intervention et/ou à l’Association canadienne pour la radiologie d’intervention (CAIR).

L’Association canadienne pour la radiologie d’intervention (CAIR) est actuellement à la recherche de personnes pour siéger à son conseil d’administration pendant un mandat de deux ans commençant en juin 2023.

Nous félicitons le Dr Sean Kennedy pour cette reconnaissance des services exceptionnels rendus à la revue CVIR, soit le plus grand nombre de relectures en 2021.

UMIC has undergone significant recent expansion of services combined with some pending radiologist retirements. As such, we are recruiting with Interventional Radiology as an area of special need.

La prise en charge de la douleur assistée par imagerie est un peu la bête noire de nombreux radiologues d’intervention vasculaire au Canada. On n’en fait pas beaucoup, puisque ce sont habituellement les anesthésistes, les chirurgiens surspécialisés ou les radiologues formés en imagerie musculosquelettique diagnostique qui effectuent ces interventions.

The Department of Radiology, McMaster University and the Department of Diagnostic Imaging, Hamilton Health Sciences are seeking a full-time radiologist for the Juravinski Hospital and Cancer Centre interventional program, for start date of July 2023.

CAIR Express - votre bulletin d'information sur la Radiologie d'intervention Canadienne à portée de la main. N'hésitez pas à le transmettre à d'autres collègues de votre réseau et, surtout, de profiter du matériel qui a été conçu pour vous.

Le Dr Virani a grandi dans la région de Toronto et effectué ses études de premier cycle et ses études supérieures à l’Université Western. Il est revenu à Toronto pour ses études de médecine avant de s’aventurer à l’Est pour une résidence en radiologie diagnostique à l’Université Dalhousie d’Halifax.

CAIR Express – votre bulletin d’information sur la Radiologie d’intervention Canadienne à portée de la main. N’hésitez pas à le transmettre à d’autres collègues de votre réseau et, surtout, de profiter du matériel qui a été conçu pour vous.

Dr. Aida Ahrari is a second-year radiology resident at the University of Toronto. She completed her undergraduate degree at the University of Ottawa, and MD-MSc at the University of Toronto. In her role as a member of the CAIR-RFS committee, Aida is involved in organizing a variety of educational opportunities for trainees interested in the field of interventional radiology.

CAIR Express - votre bulletin d'information sur la Radiologie d'intervention Canadienne à portée de la main. N'hésitez pas à le transmettre à d'autres collègues de votre réseau et, surtout, de profiter du matériel qui a été conçu pour vous.

Le prix CAIR vise à récompenser les personnes qui ont apporté des contributions importantes et rendu des services exceptionnels au domaine de la radiologie d’intervention et/ou à l’Association canadienne pour la radiologie d’intervention (CAIR).

L’Association canadienne pour la radiologie d’intervention (CAIR) est actuellement à la recherche de personnes pour siéger à son conseil d’administration pendant un mandat de deux ans commençant en juin 2023.

Nous félicitons le Dr Sean Kennedy pour cette reconnaissance des services exceptionnels rendus à la revue CVIR, soit le plus grand nombre de relectures en 2021.

UMIC has undergone significant recent expansion of services combined with some pending radiologist retirements. As such, we are recruiting with Interventional Radiology as an area of special need.

La prise en charge de la douleur assistée par imagerie est un peu la bête noire de nombreux radiologues d’intervention vasculaire au Canada. On n’en fait pas beaucoup, puisque ce sont habituellement les anesthésistes, les chirurgiens surspécialisés ou les radiologues formés en imagerie musculosquelettique diagnostique qui effectuent ces interventions.

The Department of Radiology, McMaster University and the Department of Diagnostic Imaging, Hamilton Health Sciences are seeking a full-time radiologist for the Juravinski Hospital and Cancer Centre interventional program, for start date of July 2023.

CAIR Express - votre bulletin d'information sur la Radiologie d'intervention Canadienne à portée de la main. N'hésitez pas à le transmettre à d'autres collègues de votre réseau et, surtout, de profiter du matériel qui a été conçu pour vous.

Le Dr Virani a grandi dans la région de Toronto et effectué ses études de premier cycle et ses études supérieures à l’Université Western. Il est revenu à Toronto pour ses études de médecine avant de s’aventurer à l’Est pour une résidence en radiologie diagnostique à l’Université Dalhousie d’Halifax.

Objet

Le prix CAIR vise à récompenser les personnes qui ont apporté des contributions importantes et rendu des services exceptionnels au domaine de la radiologie d’intervention et/ou à l’Association canadienne pour la radiologie d’intervention (CAIR).

  • Les services rendus au domaine de la radiologie d’intervention peuvent comprendre l’enseignement, la recherche, les examens cliniques et/ou la promotion de la radiologie d’intervention ou de CAIR. La qualité et la cohérence de la recherche doivent être validées par des publications dans des revues professionnelles reconnues.
  • Les services rendus à CAIR peuvent comprendre des contributions exceptionnelles à CAIR, à d’autres organismes médicaux et/ou à des agences gouvernementales.

Le prix CAIR peut également être décerné à des personnes qui ont mis à profit leurs compétences passées ou actuelles en vue d’améliorer la qualité des soins aux patients grâce à la pratique de la radiologie d’intervention et/ou qui, par leurs accomplissements exceptionnels, contribuent à la pérennité de ce domaine.

Admissibilité

  • Les candidats doivent être membres en règle de CAIR depuis cinq (5) ans
  • Il n’est pas possible de proposer sa propre candidature
  • Les membres du conseil d’administration de CAIR ne sont pas admissibles pendant leur mandat
  • Les candidatures des lauréats des cinq (5) dernières années ne seront pas retenues

Processus de mise en candidature

Les propositions de candidatures doivent être envoyées par courriel à luciana.nechita@cairweb.ca, avant le 31 janvier 2023. à l’attention du Comité des candidatures, avec comme objet « Candidature au prix CAIR », et comprendre les éléments suivants :

1) Les renseignements nécessaires à la mise en candidature, soit :

  • Les nom, affiliation, titre, adresse, numéro de téléphone et courriel de la personne qui propose la candidature;
  • Les nom, affiliation, titre, adresse, numéro de téléphone et courriel du candidat proposé.

2) Une lettre de mise en candidature de moins de 500 mots détaillant les éléments suivants :

  • Importance des contributions;
  • Qualité et répercussions des contributions;
  • Durée (nombre d’années) de travail significatif;
  • Portée géographique des contributions;
  • Curriculum vitæ du candidat.

3) Une (1) lettre d’appui à la candidature (en plus de la lettre de la personne qui propose la candidature) de la part d’une personne qui connaît les accomplissements du candidat.

Remarque : la lettre d’appui à la candidature doit provenir d’une personne autre que celle qui propose la candidature.

 Critères d’évaluation

Le processus d’évaluation des candidatures est le suivant :

1) Vérification de l’admissibilité de la candidature

  • La candidature respecte-t-elle les conditions d’admissibilité?
  • Le dossier de candidature est-il complet?

2) Détermination de la valeur de la candidature

  • Si un candidat est jugé admissible, la valeur de sa candidature sera évaluée d’après la lettre de mise en candidature, la lettre d’appui, le CV et l’ensemble des documents du dossier.

3) Sélection : Le Comité des candidatures évaluera les propositions et fera des recommandations au conseil d’administration de CAIR, qui prendra la décision finale.

  • Rien n’oblige CAIR à remettre le prix chaque année.
  • Le prix sera décerné à un lauréat chaque année, sauf circonstances exceptionnelles.
  • Le prix ne pourra être remis à titre posthume que si le lauréat décède après avoir été choisi.

Remise du prix

Le président du conseil d’administration de CAIR remettra le prix lors du Congrès scientifique annuel de l’Association canadienne pour la radiologie d’intervention.

Dr. Aida Ahrari is a second-year radiology resident at the University of Toronto. She completed her undergraduate degree at the University of Ottawa, and MD-MSc at the University of Toronto. In her role as a member of the CAIR-RFS committee, Aida is involved in organizing a variety of educational opportunities for trainees interested in the field of interventional radiology.

CAIR Express - votre bulletin d'information sur la Radiologie d'intervention Canadienne à portée de la main. N'hésitez pas à le transmettre à d'autres collègues de votre réseau et, surtout, de profiter du matériel qui a été conçu pour vous.

Le prix CAIR vise à récompenser les personnes qui ont apporté des contributions importantes et rendu des services exceptionnels au domaine de la radiologie d’intervention et/ou à l’Association canadienne pour la radiologie d’intervention (CAIR).

L’Association canadienne pour la radiologie d’intervention (CAIR) est actuellement à la recherche de personnes pour siéger à son conseil d’administration pendant un mandat de deux ans commençant en juin 2023.

Nous félicitons le Dr Sean Kennedy pour cette reconnaissance des services exceptionnels rendus à la revue CVIR, soit le plus grand nombre de relectures en 2021.

UMIC has undergone significant recent expansion of services combined with some pending radiologist retirements. As such, we are recruiting with Interventional Radiology as an area of special need.

La prise en charge de la douleur assistée par imagerie est un peu la bête noire de nombreux radiologues d’intervention vasculaire au Canada. On n’en fait pas beaucoup, puisque ce sont habituellement les anesthésistes, les chirurgiens surspécialisés ou les radiologues formés en imagerie musculosquelettique diagnostique qui effectuent ces interventions.

The Department of Radiology, McMaster University and the Department of Diagnostic Imaging, Hamilton Health Sciences are seeking a full-time radiologist for the Juravinski Hospital and Cancer Centre interventional program, for start date of July 2023.

CAIR Express - votre bulletin d'information sur la Radiologie d'intervention Canadienne à portée de la main. N'hésitez pas à le transmettre à d'autres collègues de votre réseau et, surtout, de profiter du matériel qui a été conçu pour vous.

Le Dr Virani a grandi dans la région de Toronto et effectué ses études de premier cycle et ses études supérieures à l’Université Western. Il est revenu à Toronto pour ses études de médecine avant de s’aventurer à l’Est pour une résidence en radiologie diagnostique à l’Université Dalhousie d’Halifax.

CAIR est à la recherche de leaders et d’innovateurs ou innovatrices d’excellence pour siéger à son conseil d’administration

L’Association canadienne pour la radiologie d’intervention (CAIR) est actuellement à la recherche de personnes pour siéger à son conseil d’administration pendant un mandat de deux ans commençant en juin 2025. Les candidatures doivent être envoyées avant le 31 décembre 2024.

Forte de son engagement en faveur de la diversité, de l’équité et de l’inclusion, CAIR encourage les candidatures représentatives de la diversité des personnes des collectivités que nous servons.

L’équité et la diversité sont des piliers de l’excellence. Une communauté ouverte et diverse favorise l’inclusion des personnes marginalisées. Afin de respecter l’engagement de CAIR en faveur de l’équité, de la diversité et de l’inclusivité et étant donné la sous-représentation des membres de groupes ayant été marginalisés par le passé ou l’étant encore actuellement au sein de son conseil d’administration, une préférence sera accordée aux personnes appartenant à l’un ou l’autre des groupes suivants : personnes issues de la diversité de genre, personnes 2SLGBTQ+, Autochtones, personnes racisées, personnes en situation de handicap.

À propos du conseil d’administration de CAIR

Le compte actuellement onze (11) administrateurs et administratrices qui remplissent des mandats décalés de deux (2) ans renouvelables jusqu’à un maximum de cinq (5) mandats de deux (2) ans. Étant donné les mandats des administrateurs actuels, le conseil d’administration s’attend à avoir besoin d’au minimum deux (2) nouvel administrateurs/nouvelle administratrices  en 2025.

CAIR est un organisme existant depuis plus de 20 ans qui compte plus de 900 membres et réunit principalement des radiologues d’intervention ainsi que d’autres professionnels du domaine et travaille en partenariat avec des groupes de patients et divers alliés afin d’aider les Canadiens à avoir accès à des traitements assistés par imagerie minimalement invasifs, efficaces et adaptés aux patients.

Son ambition est d’améliorer la santé et la qualité de vie des personnes vivant au Canada grâce aux traitements minimalement invasifs guidés par imagerie.

Le conseil d’administration de CAIR définit l’orientation générale et stratégique de l’organisme, élabore des politiques et procédures, supervise la performance générale de l’organisme et répond de ses actions générales.

Composition et mandats

Tous les membres du conseil d’administration de CAIR doivent être membres en règle de l’organisme. Le règlement de CAIR autorise un maximum de onze (11) administrateurs ou administratrices, qui doivent tous être en conformité avec les exigences éthiques et professionnelles de leur organisme professionnel, le cas échéant.

Les membres du conseil d’administration qui seront élu(e)s lors du congrès annuel de mai 2025 siégeront pour un mandat de deux (2) ans.

Engagements et réunions

Le conseil d’administration se réunit trois (3) ou quatre (4) fois par an par téléconférence ou vidéoconférence, pour une durée habituelle d’environ deux (2) heures. En plus d’assister aux réunions et de les préparer, les administrateurs et administratrices se doivent de prendre part aux échanges par courriel et par téléphone sur différents sujets émergeant entre les réunions ou à leur suite, ainsi que de participer aux comités au besoin. Deux (2) retraites en présence ont lieu chaque année en février et en novembre, auxquelles les membres du conseil d’administration sont tenus de participer.

La participation au congrès scientifique annuel de CAIR ainsi qu’aux autres activités de l’organisme est vivement encouragée. Les membres du conseil d’administration pourraient devoir représenter l’organisme lors de réunions avec des partenaires ou intervenants à l’échelle locale, nationale et internationale (réunions avec les différents paliers de gouvernement, SIR, CIRSE, etc.).

Rôles et responsabilités du conseil d’administration

Les rôles du conseil d’administration de CAIR sont les suivants :

  • Établir la mission, les objectifs et les politiques de l’organisme;
  • Élaborer une vision à long terme pour l’organisme; définir une stratégie et des échéances pour l’atteinte des objectifs;
  • Assurer la stabilité et la solidité financières de l’organisme à long terme, trouver et maintenir des sources de revenus afin d’en financer les activités courantes;
  • Assurer la stabilité et la solidité de l’organisme à long terme, y attirer des personnes ayant les compétences nécessaires pour la diriger et la gérer à l’avenir;
  • Embaucher les personnes occupant les postes de présidence et de direction générale et faire en sorte qu’elles aient ou acquièrent les compétences nécessaires pour gérer les activités de l’organisme;
  • Exercer une supervision générale de la direction générale et des activités de l’organisme, approuver les budgets annuels, passer en revue les résultats financiers et d’exploitation, vérifier le respect des politiques internes et des exigences externes, vérifier la performance de l’organisme dans l’atteinte de ses objectifs.

Les responsabilités des membres du conseil d’administration sont les suivantes :

  • Faire preuve d’engagement envers la mission, les objectifs et les politiques de l’organisme;
  • Accomplir les fonctions et le travail du conseil d’administration au mieux de ses capacités;
  • Recommander d’autres personnes qui pourraient siéger au conseil d’administration ou apporter leur contribution à l’organisme d’une autre façon;
  • Éviter tout conflit d’intérêts et toute situation pouvant mettre en péril les principes de l’organisme ou sembler les compromettre;
  • Bien connaître l’organisme, les services qu’il offre et la communauté des radiologues d’intervention qu’il sert.

Rémunération

Les membres du conseil d’administration agissent à titre bénévole. Les administrateurs ou administratrices ne doivent tirer, directement ou indirectement, aucun profit de leur statut de membre du conseil d’administration. Ils peuvent se faire rembourser des dépenses raisonnables effectuées dans l’exercice de leur fonction.

Évaluation des candidatures

Toutes les candidatures seront évaluées au mérite; cependant, une préférence sera accordée aux personnes ayant déjà occupé des postes de direction ou de gouvernance, ayant déjà siégé à un conseil d’administration, ayant déjà travaillé avec un conseil d’administration, ayant des connaissances en matière de génération de revenus au sein des structures sans but lucratif, connaissant les principes d’une gestion financière saine et pérenne ainsi que les programmes et activités de développement du point de vue d’une association nationale.

Pour faire part d’une manifestation d’intérêt à siéger au conseil d’administration de CAIR, merci d’envoyer un courriel à luciana.nechita@cairweb.ca à l’attention du Comité des candidatures, accompagné de votre curriculum vitæ et d’une brève lettre de présentation expliquant les raisons qui vous motivent à siéger au conseil d’administration de CAIR, les connaissances ou expertises dont vous pourriez faire bénéficier l’organisme et ce que votre engagement envers la radiologie d’intervention signifie pour vous.

Dans le cadre du processus d’évaluation et de recommandation des candidatures, les candidates et candidats pourraient être invités à passer des entretiens avec le Comité des candidatures au conseil d’administration et leurs références pourraient faire l’objet d’une vérification.

Les candidatures pour l’année prochaine doivent être déposées avant le 31 décember 2024.

Dr. Aida Ahrari is a second-year radiology resident at the University of Toronto. She completed her undergraduate degree at the University of Ottawa, and MD-MSc at the University of Toronto. In her role as a member of the CAIR-RFS committee, Aida is involved in organizing a variety of educational opportunities for trainees interested in the field of interventional radiology.

CAIR Express - votre bulletin d'information sur la Radiologie d'intervention Canadienne à portée de la main. N'hésitez pas à le transmettre à d'autres collègues de votre réseau et, surtout, de profiter du matériel qui a été conçu pour vous.

Le prix CAIR vise à récompenser les personnes qui ont apporté des contributions importantes et rendu des services exceptionnels au domaine de la radiologie d’intervention et/ou à l’Association canadienne pour la radiologie d’intervention (CAIR).

L’Association canadienne pour la radiologie d’intervention (CAIR) est actuellement à la recherche de personnes pour siéger à son conseil d’administration pendant un mandat de deux ans commençant en juin 2023.

Nous félicitons le Dr Sean Kennedy pour cette reconnaissance des services exceptionnels rendus à la revue CVIR, soit le plus grand nombre de relectures en 2021.

UMIC has undergone significant recent expansion of services combined with some pending radiologist retirements. As such, we are recruiting with Interventional Radiology as an area of special need.

La prise en charge de la douleur assistée par imagerie est un peu la bête noire de nombreux radiologues d’intervention vasculaire au Canada. On n’en fait pas beaucoup, puisque ce sont habituellement les anesthésistes, les chirurgiens surspécialisés ou les radiologues formés en imagerie musculosquelettique diagnostique qui effectuent ces interventions.

The Department of Radiology, McMaster University and the Department of Diagnostic Imaging, Hamilton Health Sciences are seeking a full-time radiologist for the Juravinski Hospital and Cancer Centre interventional program, for start date of July 2023.

CAIR Express - votre bulletin d'information sur la Radiologie d'intervention Canadienne à portée de la main. N'hésitez pas à le transmettre à d'autres collègues de votre réseau et, surtout, de profiter du matériel qui a été conçu pour vous.

Le Dr Virani a grandi dans la région de Toronto et effectué ses études de premier cycle et ses études supérieures à l’Université Western. Il est revenu à Toronto pour ses études de médecine avant de s’aventurer à l’Est pour une résidence en radiologie diagnostique à l’Université Dalhousie d’Halifax.

Nous avons appris que l’un des nôtres a été reconnu à l’échelle internationale pour sa contribution et ses services exceptionnels en tant que lecteur expert de la revue CardioVascular and Interventional Radiology (CVIR). Nous félicitons le Dr Sean Kennedy pour cette reconnaissance des services exceptionnels rendus à la revue CVIR, soit le plus grand nombre de relectures en 2021.

Né à Toronto, Sean y a passé son enfance. Après des études de premier cycle en biochimie et biologie à l’Université de Toronto, il a étudié la médecine à l’Université McMaster. Par la suite, il est retourné à Toronto pour effectuer sa résidence en radiologie diagnostique et sa surspécialisation en radiologie d’intervention au JDMI (UHN et Mount Sinai).

Pendant ses études à l’Université Mc Master, il s’est découvert une passion pour l’épidémiologie clinique, les méta-analyses, les analyses documentaires systématiques et la médecine factuelle et a cherché à les appliquer au domaine de la radiologie d’intervention. À ce jour, il a publié plus de 50 articles révisés par des pairs.

Après sa surspécialisation, en 2021, il a été embauché par l’hôpital Humber River de Toronto. Sur le plan clinique, il s’intéresse notamment aux domaines suivants : embolothérapie, accès veineux/dialyses complexes, maladie veineuse, radio-oncologie d’intervention et interventions spinales, y compris vertébroplastie et spondyloplastie.

 

Dr. Aida Ahrari is a second-year radiology resident at the University of Toronto. She completed her undergraduate degree at the University of Ottawa, and MD-MSc at the University of Toronto. In her role as a member of the CAIR-RFS committee, Aida is involved in organizing a variety of educational opportunities for trainees interested in the field of interventional radiology.

CAIR Express - votre bulletin d'information sur la Radiologie d'intervention Canadienne à portée de la main. N'hésitez pas à le transmettre à d'autres collègues de votre réseau et, surtout, de profiter du matériel qui a été conçu pour vous.

Le prix CAIR vise à récompenser les personnes qui ont apporté des contributions importantes et rendu des services exceptionnels au domaine de la radiologie d’intervention et/ou à l’Association canadienne pour la radiologie d’intervention (CAIR).

L’Association canadienne pour la radiologie d’intervention (CAIR) est actuellement à la recherche de personnes pour siéger à son conseil d’administration pendant un mandat de deux ans commençant en juin 2023.

Nous félicitons le Dr Sean Kennedy pour cette reconnaissance des services exceptionnels rendus à la revue CVIR, soit le plus grand nombre de relectures en 2021.

UMIC has undergone significant recent expansion of services combined with some pending radiologist retirements. As such, we are recruiting with Interventional Radiology as an area of special need.

La prise en charge de la douleur assistée par imagerie est un peu la bête noire de nombreux radiologues d’intervention vasculaire au Canada. On n’en fait pas beaucoup, puisque ce sont habituellement les anesthésistes, les chirurgiens surspécialisés ou les radiologues formés en imagerie musculosquelettique diagnostique qui effectuent ces interventions.

The Department of Radiology, McMaster University and the Department of Diagnostic Imaging, Hamilton Health Sciences are seeking a full-time radiologist for the Juravinski Hospital and Cancer Centre interventional program, for start date of July 2023.

CAIR Express - votre bulletin d'information sur la Radiologie d'intervention Canadienne à portée de la main. N'hésitez pas à le transmettre à d'autres collègues de votre réseau et, surtout, de profiter du matériel qui a été conçu pour vous.

Le Dr Virani a grandi dans la région de Toronto et effectué ses études de premier cycle et ses études supérieures à l’Université Western. Il est revenu à Toronto pour ses études de médecine avant de s’aventurer à l’Est pour une résidence en radiologie diagnostique à l’Université Dalhousie d’Halifax.

 

Interventional Radiologists

 University Medical Imaging Consultants (UMIC), University of Saskatchewan, Saskatoon

Permanent Full-Time Academic & Clinical Position

WHY WE ARE HIRING

UMIC has undergone significant recent expansion of services combined with some pending radiologist retirements. As such, we are recruiting with Interventional Radiology as an area of special need.

ABOUT OUR PRACTICE

UMIC is currently a group of 29 radiologists centered in Saskatoon, Saskatchewan. We have a mixed academic, hospital and community practice. All our members are affiliated with the University of Saskatchewan and actively involved in teaching and supervising residents and medical students. Our mix of academic and clinical services allows us to have an academic mission combined with good remuneration. We have a large on-site presence at Royal University Hospital and Jim Pattison Children’s Hospital in Saskatoon. We also provide diagnostic radiology services for Battlefords Union Hospital (in North Battleford) and Lloydminster Hospital (in Lloydminster) through a mixture of remote and on-site services. We own and operate Saskatoon Medical Imaging, a community radiology practice providing mammography, ultrasound, and x-ray services at over 20 clinics centered in Saskatoon. We have also recently started providing outpatient MRI and CT services at National Medical Imaging in Saskatoon.

WHO SHOULD APPLY?

The preferred candidates will have strong clinical training in Interventional Radiology. Although working within the specialty is expected, candidates must also be able and willing to practice covering a wider range of general radiology. Candidates must be willing to work both in hospital and clinic settings. Ability to perform breast imaging (mammography and ultrasound) would be preferred.

Candidates must also have an interest in academic radiology with a focus on resident supervision/teaching. A desire to participate in research including resident research supervision would be preferred but is not essential.

Diagnostic services covered by our group include MRI (3.0T & 1.5T with subspecialty reading), CT, ultrasound, mammography, radiography, and fluoroscopy.

Interventional radiology is hospital based and includes vascular (trauma/GI bleed embolizations, vascular access, uterine artery fibroid/AVM/hemorrhage embolizations, TACE, IVC filters) and non-vascular (biliary and gallbladder drains, nephrostomy tubes and ureteric stents, PG/PGJ tube placements, image guided ablations, chest and abdominal drains, image guided biopsies). Areas of desired expansion include but are not limited to TIPS and TARE.

Full posting available here.

 

Dr. Aida Ahrari is a second-year radiology resident at the University of Toronto. She completed her undergraduate degree at the University of Ottawa, and MD-MSc at the University of Toronto. In her role as a member of the CAIR-RFS committee, Aida is involved in organizing a variety of educational opportunities for trainees interested in the field of interventional radiology.

CAIR Express - votre bulletin d'information sur la Radiologie d'intervention Canadienne à portée de la main. N'hésitez pas à le transmettre à d'autres collègues de votre réseau et, surtout, de profiter du matériel qui a été conçu pour vous.

Le prix CAIR vise à récompenser les personnes qui ont apporté des contributions importantes et rendu des services exceptionnels au domaine de la radiologie d’intervention et/ou à l’Association canadienne pour la radiologie d’intervention (CAIR).

L’Association canadienne pour la radiologie d’intervention (CAIR) est actuellement à la recherche de personnes pour siéger à son conseil d’administration pendant un mandat de deux ans commençant en juin 2023.

Nous félicitons le Dr Sean Kennedy pour cette reconnaissance des services exceptionnels rendus à la revue CVIR, soit le plus grand nombre de relectures en 2021.

UMIC has undergone significant recent expansion of services combined with some pending radiologist retirements. As such, we are recruiting with Interventional Radiology as an area of special need.

La prise en charge de la douleur assistée par imagerie est un peu la bête noire de nombreux radiologues d’intervention vasculaire au Canada. On n’en fait pas beaucoup, puisque ce sont habituellement les anesthésistes, les chirurgiens surspécialisés ou les radiologues formés en imagerie musculosquelettique diagnostique qui effectuent ces interventions.

The Department of Radiology, McMaster University and the Department of Diagnostic Imaging, Hamilton Health Sciences are seeking a full-time radiologist for the Juravinski Hospital and Cancer Centre interventional program, for start date of July 2023.

CAIR Express - votre bulletin d'information sur la Radiologie d'intervention Canadienne à portée de la main. N'hésitez pas à le transmettre à d'autres collègues de votre réseau et, surtout, de profiter du matériel qui a été conçu pour vous.

Le Dr Virani a grandi dans la région de Toronto et effectué ses études de premier cycle et ses études supérieures à l’Université Western. Il est revenu à Toronto pour ses études de médecine avant de s’aventurer à l’Est pour une résidence en radiologie diagnostique à l’Université Dalhousie d’Halifax.

La prise en charge de la douleur assistée par imagerie est un peu la bête noire de nombreux radiologues d’intervention vasculaire au Canada. On n’en fait pas beaucoup, puisque ce sont habituellement les anesthésistes, les chirurgiens surspécialisés ou les radiologues formés en imagerie musculosquelettique diagnostique qui effectuent ces interventions. Pendant notre surspécialisation, les seules interventions de mitigation de la douleur assistées par imagerie que Coco et moi nous rappelons avoir effectuées étaient des alcoolisations du plexus cœliaque et l’observation de l’étrange intervention de vertébroplastie à travers une fenêtre de verre plombé. En tant que radiologues d’intervention vasculaire en poste, nous avons réalisé qu’une majorité de nos patients nécessitant régulièrement des interventions vasculaires ou d’hémodialyse (plus de 50 %) avaient déjà subi des interventions guidées par imagerie, sous une forme ou une autre (la plupart du temps des injections cervicales/lombaires ou dans les grandes articulations), réalisées par des personnes n’étant pas spécialistes en radiologie. Nous avons donc décidé de creuser un peu plus le sujet de la prise en charge de la douleur assistée par imagerie et sommes tombés sur l’ablation nerveuse pour le soulagement des douleurs des grandes articulations (généralement en cas de fracture ou d’arthrose) chez des patients ne nécessitant pas d’intervention chirurgicale. Nous avons trouvé un radiologue d’intervention exerçant à Atlanta, en Géorgie, le Dr Prologo, et avons décidé de lui parler d’ablation nerveuse.


Le Dr J. David Prologo est professeur agrégé au Département de radiologie de la Faculté de médecine de l’Université Emory et directeur des services de radiologie d’intervention au Emory Johns Creek Hospital. Lui-même radiologue d’intervention, il se spécialise en radiologie diagnostique, en radiologie d’intervention, en médecine de l’obésité, en interventions de soulagement de la douleur et en ablation de tumeurs osseuses.

Le Dr Prologo a obtenu son doctorat à l’Université d’État de l’Ohio (Ohio State University) et effectué sa résidence en radiologie au University Hospitals Case Medical Center à Cleveland, en Ohio. Il a ensuite effectué une surspécialisation en radiologie vasculaire et d’intervention au Metrohealth Medical Center à Cleveland, toujours en Ohio.

Ses recherches portent sur l’application des techniques de guidage par imagerie à l’administration de traitements par cellules souches, au soulagement des douleurs cancéreuses et à la prise en charge de l’obésité. Il s’agit d’un expert reconnu en matière de traitements d’ablation, qui a été pionnier dans la réalisation de plusieurs interventions novatrices dans cette spécialité, parmi lesquelles la cryoablation des nerfs.

Quand nous avons entendu parler de l’ablation de nerfs du genou, nous nous sommes demandé : comment? Par radiofréquence? Par micro-ondes? Par cryothérapie? Par alcoolisation? Pourriez-vous nous décrire rapidement votre expérience avec cette intervention et nous dire comment vous l’avez vue évoluer ces dernières années? ​

L’intervention d’origine d’ablation par radiofréquence (ARF) guidée par fluoroscopie a en grande partie été portée par l’industrie. Les fabricants de sondes d’ARF ont effectué des campagnes marketing auprès du public puis ont formé les responsables de l’intervention. Avec le temps, les recherches ont montré une certaine variabilité des trajets nerveux, ce qui portait à croire que l’intervention ratait une bonne partie du temps. En conséquence, nous (les radiologues d’intervention) avons commencé (comme nous le faisons toujours!) à améliorer cette technique grâce à l’utilisation de l’échographie (guidage de meilleure qualité) et/ou de la cryothérapie (plus grandes zones d’ablation).

Outre les sondes d’ARF, pensez-vous que l’utilisation d’autres méthodes puisse être sécuritaire? Par exemple, est-ce qu’il serait possible d’effectuer une ablation par alcoolisation ou bien est-ce que cela entraînerait trop de risques de dommages musculaires?

Selon moi, l’alcool est trop dispendieux et impossible à maîtriser dans une telle situation. La cryoablation est moins douloureuse, plus prévisible et permet de traiter une zone plus importante. C’est donc la solution idéale.

Cette intervention pourrait-elle être réalisée uniquement en suivant les recommandations émanant des États-Unis?

Oui.

Qui vous envoie les patients que vous traitez?

Principalement les services d’orthopédie, pour les patients qui ne veulent pas de prothèse de genou ou chez qui une telle intervention n’est pas possible.

Comment sélectionnez-vous les patients?

Il s’agit de patients ayant des douleurs dues à une arthrose du genou ou chez qui la pose d’une prothèse du genou a échoué et qui ne présentent pas de contre-indications.

Quel suivi effectuez-vous chez ces patients?

À 3, 6 et 12 mois. Habituellement, on réitère l’intervention entre 12 et 18 mois.

Combien de traitements faut-il généralement?

Un traitement dure entre 12 et 18 mois. Si le patient profite de cette période pour faire de l’exercice, perdre du poids et se faire poser une prothèse du genou, alors il obtiendra les meilleurs résultats.

Quelles sont les complications les plus fréquentes?

Les complications sont plutôt rares.

Quelles comparaisons peut-on faire avec l’embolisation des artères du genou?

Bonne question. L’embolisation des artères du genou vise à atténuer la physiopathologie de la maladie, tandis que l’ablation de nerfs du genou ne fait que soulager la douleur. Cela dit, l’embolisation des artères du genou comporte davantage de risques.

Arrive-t-il souvent que les gens parlent d’ablation des nerfs géniculés au lieu d’ablation des nerfs du genou?

Ils se fient généralement au radiologue d’intervention. Nous décidons alors quelle intervention pratiquer.

De quelle manière un radiologue d’intervention vasculaire en exercice peut-il se former à cette intervention?

Les patients sont là. Je recommande en premier lieu d’aller leur parler directement, article de journal à l’appui, de parler à un représentant des médias ou d’effectuer du marketing direct. On pourrait aussi sensibiliser les chirurgiens orthopédiques (comme ci-dessus) et/ou les médecins de soins primaires à ces options non chirurgicales. Enfin, j’essayerais de fournir mes services le plus rapidement possible aux personnes qui m’envoient des patients.


Quelques références :

A Review of Long-Term Pain Relief after Genicular Nerve Radiofrequency Ablation in Chronic Knee Osteoarthritis 

Is Genicular Nerve Radiofrequency Ablation Safe? A Literature Review and Anatomical Study 

Can cooled RF ablation relieve post-knee replacement pain?

Cooled Radiofrequency Ablation May Relieve Chronic Pain after TKA

Dr. Aida Ahrari is a second-year radiology resident at the University of Toronto. She completed her undergraduate degree at the University of Ottawa, and MD-MSc at the University of Toronto. In her role as a member of the CAIR-RFS committee, Aida is involved in organizing a variety of educational opportunities for trainees interested in the field of interventional radiology.

CAIR Express - votre bulletin d'information sur la Radiologie d'intervention Canadienne à portée de la main. N'hésitez pas à le transmettre à d'autres collègues de votre réseau et, surtout, de profiter du matériel qui a été conçu pour vous.

Le prix CAIR vise à récompenser les personnes qui ont apporté des contributions importantes et rendu des services exceptionnels au domaine de la radiologie d’intervention et/ou à l’Association canadienne pour la radiologie d’intervention (CAIR).

L’Association canadienne pour la radiologie d’intervention (CAIR) est actuellement à la recherche de personnes pour siéger à son conseil d’administration pendant un mandat de deux ans commençant en juin 2023.

Nous félicitons le Dr Sean Kennedy pour cette reconnaissance des services exceptionnels rendus à la revue CVIR, soit le plus grand nombre de relectures en 2021.

UMIC has undergone significant recent expansion of services combined with some pending radiologist retirements. As such, we are recruiting with Interventional Radiology as an area of special need.

La prise en charge de la douleur assistée par imagerie est un peu la bête noire de nombreux radiologues d’intervention vasculaire au Canada. On n’en fait pas beaucoup, puisque ce sont habituellement les anesthésistes, les chirurgiens surspécialisés ou les radiologues formés en imagerie musculosquelettique diagnostique qui effectuent ces interventions.

The Department of Radiology, McMaster University and the Department of Diagnostic Imaging, Hamilton Health Sciences are seeking a full-time radiologist for the Juravinski Hospital and Cancer Centre interventional program, for start date of July 2023.

CAIR Express - votre bulletin d'information sur la Radiologie d'intervention Canadienne à portée de la main. N'hésitez pas à le transmettre à d'autres collègues de votre réseau et, surtout, de profiter du matériel qui a été conçu pour vous.

Le Dr Virani a grandi dans la région de Toronto et effectué ses études de premier cycle et ses études supérieures à l’Université Western. Il est revenu à Toronto pour ses études de médecine avant de s’aventurer à l’Est pour une résidence en radiologie diagnostique à l’Université Dalhousie d’Halifax.

 

The Department of Radiology, McMaster University and the Department of Diagnostic Imaging, Hamilton Health Sciences are seeking a full-time radiologist for the Juravinski Hospital and Cancer Centre interventional program, for start date of July 2023. Academic rank will be commensurate with the candidate’s qualification and experience.

As a full time faculty member within the Department of Radiology, the successful candidate will promote clinical scholarship and have a strong commitment to excellence in teaching, mentorship and interest in research. The successful candidate will participate in teaching and supervision of residents within our highly rated Diagnostic Radiology Residency Program and will support and participate in teaching activities in the undergraduate medicine program and other relevant programs. Teaching and supervision of interventional fellows in our McMaster fellowship programs is required.

Applicants must be certified (or eligible for certification) by the Royal College of Physicians and Surgeons of Canada in Diagnostic Radiology (or equivalent) and hold (or be eligible for) an independent license in the Province of Ontario. Successful applicants must have completed specialty fellowship training interventional radiology. Full posting here.

Dr. Aida Ahrari is a second-year radiology resident at the University of Toronto. She completed her undergraduate degree at the University of Ottawa, and MD-MSc at the University of Toronto. In her role as a member of the CAIR-RFS committee, Aida is involved in organizing a variety of educational opportunities for trainees interested in the field of interventional radiology.

CAIR Express - votre bulletin d'information sur la Radiologie d'intervention Canadienne à portée de la main. N'hésitez pas à le transmettre à d'autres collègues de votre réseau et, surtout, de profiter du matériel qui a été conçu pour vous.

Le prix CAIR vise à récompenser les personnes qui ont apporté des contributions importantes et rendu des services exceptionnels au domaine de la radiologie d’intervention et/ou à l’Association canadienne pour la radiologie d’intervention (CAIR).

L’Association canadienne pour la radiologie d’intervention (CAIR) est actuellement à la recherche de personnes pour siéger à son conseil d’administration pendant un mandat de deux ans commençant en juin 2023.

Nous félicitons le Dr Sean Kennedy pour cette reconnaissance des services exceptionnels rendus à la revue CVIR, soit le plus grand nombre de relectures en 2021.

UMIC has undergone significant recent expansion of services combined with some pending radiologist retirements. As such, we are recruiting with Interventional Radiology as an area of special need.

La prise en charge de la douleur assistée par imagerie est un peu la bête noire de nombreux radiologues d’intervention vasculaire au Canada. On n’en fait pas beaucoup, puisque ce sont habituellement les anesthésistes, les chirurgiens surspécialisés ou les radiologues formés en imagerie musculosquelettique diagnostique qui effectuent ces interventions.

The Department of Radiology, McMaster University and the Department of Diagnostic Imaging, Hamilton Health Sciences are seeking a full-time radiologist for the Juravinski Hospital and Cancer Centre interventional program, for start date of July 2023.

CAIR Express - votre bulletin d'information sur la Radiologie d'intervention Canadienne à portée de la main. N'hésitez pas à le transmettre à d'autres collègues de votre réseau et, surtout, de profiter du matériel qui a été conçu pour vous.

Le Dr Virani a grandi dans la région de Toronto et effectué ses études de premier cycle et ses études supérieures à l’Université Western. Il est revenu à Toronto pour ses études de médecine avant de s’aventurer à l’Est pour une résidence en radiologie diagnostique à l’Université Dalhousie d’Halifax.

CAIR Express – votre bulletin d’information sur la Radiologie d’intervention Canadienne à portée de la main. N’hésitez pas à le transmettre à d’autres collègues de votre réseau et, surtout, de profiter du matériel qui a été conçu pour vous.

Dr. Aida Ahrari is a second-year radiology resident at the University of Toronto. She completed her undergraduate degree at the University of Ottawa, and MD-MSc at the University of Toronto. In her role as a member of the CAIR-RFS committee, Aida is involved in organizing a variety of educational opportunities for trainees interested in the field of interventional radiology.

CAIR Express - votre bulletin d'information sur la Radiologie d'intervention Canadienne à portée de la main. N'hésitez pas à le transmettre à d'autres collègues de votre réseau et, surtout, de profiter du matériel qui a été conçu pour vous.

Le prix CAIR vise à récompenser les personnes qui ont apporté des contributions importantes et rendu des services exceptionnels au domaine de la radiologie d’intervention et/ou à l’Association canadienne pour la radiologie d’intervention (CAIR).

L’Association canadienne pour la radiologie d’intervention (CAIR) est actuellement à la recherche de personnes pour siéger à son conseil d’administration pendant un mandat de deux ans commençant en juin 2023.

Nous félicitons le Dr Sean Kennedy pour cette reconnaissance des services exceptionnels rendus à la revue CVIR, soit le plus grand nombre de relectures en 2021.

UMIC has undergone significant recent expansion of services combined with some pending radiologist retirements. As such, we are recruiting with Interventional Radiology as an area of special need.

La prise en charge de la douleur assistée par imagerie est un peu la bête noire de nombreux radiologues d’intervention vasculaire au Canada. On n’en fait pas beaucoup, puisque ce sont habituellement les anesthésistes, les chirurgiens surspécialisés ou les radiologues formés en imagerie musculosquelettique diagnostique qui effectuent ces interventions.

The Department of Radiology, McMaster University and the Department of Diagnostic Imaging, Hamilton Health Sciences are seeking a full-time radiologist for the Juravinski Hospital and Cancer Centre interventional program, for start date of July 2023.

CAIR Express - votre bulletin d'information sur la Radiologie d'intervention Canadienne à portée de la main. N'hésitez pas à le transmettre à d'autres collègues de votre réseau et, surtout, de profiter du matériel qui a été conçu pour vous.

Le Dr Virani a grandi dans la région de Toronto et effectué ses études de premier cycle et ses études supérieures à l’Université Western. Il est revenu à Toronto pour ses études de médecine avant de s’aventurer à l’Est pour une résidence en radiologie diagnostique à l’Université Dalhousie d’Halifax.

Le Dr Virani a grandi dans la région de Toronto et effectué ses études de premier cycle et ses études supérieures à l’Université Western. Il est revenu à Toronto pour ses études de médecine avant de s’aventurer à l’Est pour une résidence en radiologie diagnostique à l’Université Dalhousie d’Halifax. Le Dr Virani a passé les deux dernières années à l’Université Emory d’Atlanta, en Géorgie, afin de se former à la radiologie d’intervention. Il a hâte de retourner chez lui au Canada pour passer du temps en famille et voyager un peu. Le Dr Virani va effectuer des remplacements dans tout le pays. Son objectif? se joindre à un cabinet de radiologie ayant un volet de radiologie d’intervention axé sur l’innovation pour améliorer les soins aux patients en repoussant les limites de la pratique actuelle.

Pourquoi avoir choisi d’effectuer une surspécialisation aux États-Unis?

J’ai toujours eu envie d’effectuer une partie de ma formation aux États-Unis, pour voir comment les choses se faisaient au sud de la frontière. J’en ai eu l’occasion lors de mes études de médecine et de ma résidence, mais à l’époque, pour différentes raisons, j’ai choisi de rester au Canada, et j’ai vécu des expériences formidables lors de ma formation à Toronto et Halifax. La surspécialisation représentait donc ma dernière chance de me former aux États-Unis.

Quel a été le processus d’entrevue et de décision?

À la différence de ce qui se fait au Canada, aux États-Unis, les programmes de formation de surspécialisation peuvent encore prendre part à un processus de jumelage lors de la sélection des candidats. Pour la radiologie, les surspécialisations en radiologie d’intervention, neuroradiologie, imagerie musculosquelettique et imagerie du sein prennent part à un jumelage effectué par le National Residency Match Program. Donc, juste quand je pensais en avoir fini avec les matinées extrêmement angoissantes de « cliquer sur un bouton de souris pour déterminer mon avenir », eh bien non.

Comme c’est le cas pour le Service canadien de jumelage des résidents, j’ai donc dû envoyer à la base de données centrale de jumelage l’habituelle fournée de documents : lettres de motivation, CV et lettres de recommandation. Comme je savais que je voulais au moins garder la possibilité d’effectuer une surspécialisation aux États-Unis, j’avais passé les trois étapes de l’examen de licence médicale des États-Unis (United States Medical Licensing Examinations) pendant mes études de médecine et ma première année de résidence. Je ne sais toujours pas à ce jour si ces examens étaient nécessaires pour le programme de radiologie d’intervention de l’Université Emory, mais je ne voulais pas que cet élément m’empêche de bénéficier d’une excellente expérience de formation.

J’ai déposé ma candidature auprès de dix programmes de radiologie d’intervention d’un bout à l’autre des États-Unis. Je savais que la compétition était rude pour les programmes de surspécialisation en radiologie d’intervention l’année de ma candidature, mais je n’avais pas vraiment réalisé à quel point. Un seul établissement des États-Unis, l’Université Emory d’Atlanta, en Géorgie, m’a accordé une entrevue.

J’ai pris l’avion pour passer cette entrevue sans trop savoir à quoi m’attendre. J’ai immédiatement été impressionné par l’infrastructure du campus universitaire et hospitalier. Le jour de mon entrevue, j’ai rencontré les autres candidats puis assisté à une brève réunion de groupe avec le nouveau directeur du programme, le Dr Bill Majdalany, qui venait de l’Université du Michigan pour occuper le poste de directeur de programme à Emory. La même journée, j’ai ensuite passé quatre entrevues individuelles avec différents membres du corps professoral d’Emory. Avant que j’aie eu le temps de le réaliser, ma journée d’entrevue était terminée et j’étais dans un avion que me ramenait à Halifax.

Quelques semaines après, alors que j’assistais au cours bien connu de l’American Institute for Radiological Pathology (AIRP), j’ai reçu un courriel du Dr Majdalany qui me demandait si je comptais assister au congrès annuel de la Society of Interventional Radiology (SIR), qui se tenait seulement quelques semaines plus tard. Je n’avais pas prévu d’y assister, puisque j’étais déjà à l’AIRP et que j’avais plusieurs obligations cliniques de résident qui m’attendaient à Dalhousie. Je savais cependant que ce serait dans mon intérêt de passer plus de temps en face à face avec le personnel d’Emory, et en particulier avec le directeur du programme de formation. J’ai donc décidé de prendre l’avion pour Austin, au Texas, afin de passer deux jours au congrès de la SIR, séjour durant lequel j’ai déjeuné avec le Dr Majdalany (potentiellement le déjeuner le plus important de ma vie à ce jour!). Sans révéler les détails de notre conversation, je peux vous assurer que durant mon vol de retour, je savais que mon destin était d’aller à Emory.

Plusieurs mois plus tard, pendant l’été 2019, j’ai une nouvelle fois dû faire ce clic de souris… Vous connaissez la suite.

Pourquoi Emory?

Par où commencer? Je pense que l’unicité d’Emory réside dans le fait qu’il s’agit de l’une des rares universités du pays à proposer une expérience de surspécialisation en radiologie d’intervention presque exhaustive. Comme il s’agit du plus important système hospitalier de l’État de Géorgie, la majorité des cas complexes y sont traités, et le bassin versant ne s’arrête pas aux frontières de l’État : nous traitons en effet des patients de Floride, de Caroline du Sud, d’Alabama et même au-delà, y compris des patients venus de lointains pays étrangers. C’est tout d’abord dans le département que réside la force du programme de surspécialisation en RI : il comprend en effet le plus important effectif de radiologues d’intervention du pays, et notamment d’anciens présidents de la SIR ayant des expériences d’enseignement vraiment d’un bout à l’autre du pays, qui ont soif de transmettre leurs connaissances. Emory est un centre de transplantation et d’oncologie de pointe qui appuie également l’un des hôpitaux de traumatologie les plus occupés du pays. Nous effectuons aussi des rotations dans les hôpitaux pour enfants d’Atlanta, ce qui nous donne le privilège d’apprendre des techniques et d’acquérir des compétences novatrices en radiologie d’intervention dans un centre pédiatrique quaternaire. Cela dit, le plus important selon moi, c’est que dès le premier jour de la suspécialisation à Emory, on insiste sur l’importance de la formation clinique pour devenir un radiologue d’intervention accompli. Dans ce domaine en évolution constante, à Emory on insiste sur la nature consultative de la spécialité de RI et on apprend à l’étudiant en surspécialisation à prendre en charge le patient de façon responsable avant, pendant et après l’intervention.

Quel est le déroulement d’une journée type en surspécialisation?

Mon réveil sonne à 4 h 30 du matin. J’arrive à l’hôpital avant 6 h. Selon le site hospitalier auquel je suis affecté, je peux me trouver ou non en compagnie de collègues en surspécialisation (nous sommes 7 au total, répartis sur les 5 sites hospitaliers). Nous faisons la tournée des patients hospitalisés et notons les progrès journaliers accomplis. Les interventions prévues ce jour-là en ambulatoire ou chez des patients hospitalisés ont été planifiées soit la veille, soit tôt le matin. Nous nous occupons de toutes les affaires urgentes de la nuit. La tournée du matin commence entre 7 h et 7 h 30 selon le site hospitalier. À cette occasion, le stagiaire en RI discute de chaque cas du jour avec les titulaires et détaille le plan d’intervention. À la fin de la tournée, nous sommes prêts à prendre en charge les cas du jour. On commence généralement le premier cas à 8 h du matin. Le principal hôpital universitaire d’Emory (où un stagiaire en surspécialisation passe 6 mois de l’année) dispose généralement de quatre salles d’angiographie (ainsi que d’une salle de tomodensitométrie pour les interventions qui le nécessitent). Un stagiaire en RI est affecté à chacune des salles et en est responsable pour la journée. Dans les autres sites hospitaliers, où un seul stagiaire en RI expérimenté est affecté, ce dernier est responsable de l’ensemble des cas du jour. Une fois que le dernier cas a été traité, le stagiaire en surspécialisation dicte les comptes-rendus du jour tout en prenant en charge tout problème survenu au sein de l’unité. C’est à ce moment-là que l’on planifie la journée suivante, en effectuant le triage et en planifiant les consultations des patients hospitalisés à partir de la liste de patients externes du lendemain. En début d’année, il n’était pas rare que je quitte l’hôpital après 21 heures, puisque je voulais que le jour suivant se déroule mieux que le précédent. Heureusement, au fil du programme de formation, j’ai gagné en efficacité, ce qui me permettait de partir légèrement plus tôt.

Les gardes de nuit ou de fin de semaine avaient sans aucun doute le potentiel d’être chargées. Étant donné les nombreux sites couverts par Emory, nous partagions la ville en deux régions, nord et sud, un stagiaire expérimenté et un titulaire étant affectés à chacune de ces zones chaque jour. En tant que responsable des stagiaires en surspécialisation pendant ma deuxième année, je devais planifier les gardes, m’assurer que les stagiaires ne soient pas de garde plus qu’un jour sur quatre. La région sud était sans aucun doute la plus chargée deux, puisqu’elle comprend à la fois l’hôpital universitaire Grady (traumatologie de niveau 1) et celui d’Emory (centre de transplantation et d’interventions chirurgicales et hépatobiliaires complexes). Il n’était pas rare d’être debout la plus grande partie de la nuit pour effectuer des embolisations en cas de traumatisme ou de traiter en urgence des patients en pleine hémorragie. Cela dit, la culture de l’établissement faisait en sorte que les stagiaires bénéficiaient d’un sursis bien mérité après des gardes exigeantes.

Combien de patients avez-vous traités?

Au bout de deux ans, j’aurai traité un peu moins de 3 000 cas, et ce avec une autonomie croissante. Emory prend en charge une énorme diversité de cas, dont la complexité varie grandement, elle aussi. Voici certains des cas les plus complexes auxquels j’ai pu prendre part : mise en place d’un TIPS (Transjugular Intrahepatic Portosystemic Shunt) (généralement sous échocardiographie intracardiaque pour l’accès à la veine portale), interventions hépatobiliaires complexes telles que cholangiographie transhépatique percutanée avec pose palliative d’une endoprothèse, cholangioscopie avec lithotripsie et retrait de calculs, ablations thermiques et chimiques complexes d’organes et de tissus mous, embolisations pelviennes et d’organes pleins après trauma, nombreux traitements endovasculaires du foie, notamment radioembolisations à l’yttrium 90, lymphangiogrammes diagnostiques et thérapeutiques avec embolisation et reconstructions veineuses complexes guidées par échographie intravasculaire.

En matière d’expérience en surspécialisation, la force d’Emory réside dans le traitement novateur des patients atteints de maladies complexes. Par exemple, j’ai participé au tout début de la création de fistules artérioveineuses endovasculaires chez des patients sous dialyse (nous aurons bientôt réalisé une telle intervention chez 10 patients). Par ailleurs, Emory n’a pas son pareil en matière de prise en charge de la douleur et de soins palliatifs. Dans l’espoir d’endiguer la crise des opioïdes, une bonne proportion de l’expérience de formation a été axée sur les interventions de soulagement de la douleur, y compris la spondyloplastie (avec ablation thermique de métastases osseuses), la cryoneurolyse (ciblée notamment sur les nerfs pudendal et du plexus cœliaque) ainsi que l’ablation des nerfs du genou chez les patients ne pouvant pas subir d’arthroplastie du genou.

Dans quels domaines, s’il y en a, avez-vous l’impression d’avoir été moins bien formé?

J’ai l’impression qu’Emory m’a offert une expérience de surspécialisation vraiment complète, comme je l’ai expliqué précédemment. Cependant, comme c’est le cas dans de nombreux centres de formation en radiologie d’intervention aux États-Unis, nous sommes très peu exposés à des cas de maladie aorto-iliaque et d’artériopathie périphérique, à l’inverse de ce qui peut se faire en surspécialisation au Canada, à ma connaissance. Cette différence de formation se constate quand on cherche des postes d’enseignement en radiologie d’intervention au Canada. Je pense cependant que mon expertise en imagerie et mes compétences endovasculaires me permettront de combler mes lacunes dans ce domaine. De nombreux médecins ayant effectué leur surspécialisation à Emory ont par la suite excellé dans le traitement des artériopathies périphériques. Le dicton « apprenez à un homme à pêcher… » me vient à l’esprit.

Quels sont, selon vous, les avantages et les inconvénients d’effectuer une surspécialisation aux États-Unis?

Avant de parler des avantages et des inconvénients de ces deux environnements de formation, il me semble qu’il faut clarifier certaines choses. La première différence qui me vient à l’esprit concerne la durée de la formation en radiologie d’intervention aux États-Unis et au Canada. Aux États-Unis, la formation en radiologie d’intervention peut se faire selon différentes voies en raison de la création du programme de résidence en RI. Par exemple, un diplômé de la faculté de médecine peut désormais être jumelé avec un programme intégré de résidence en radiologie d’intervention (stage + 5 ans de formation en radiologie d’intervention). Les quatre premières années suivent le même cursus que la formation en radiologie diagnostique (RD), et l’étudiant peut passer l’examen de radiologie diagnostique. Dans cette filière, les deux dernières années comportent énormément de radiologie d’intervention, mais aussi une formation dans d’autres domaines, habituellement au sein du service de soins intensifs ou de chirurgie de transplantation.

La deuxième voie de formation à la RI est de commencer comme résident en RD, puis de se faire jumeler avec un programme de spécialisation précoce en radiologie d’intervention (ESIR, Early Specialization in Interventional Radiology). Dans ce cas, la cinquième année de résidence du programme de RD étiquetée ESIR comprend 7 mois de RI, y compris un mois sur des sujets autres que la RI. Les étudiants de cette filière peuvent ensuite être jumelés en deuxième année d’un programme de résidence en RI indépendant de deux ans. La dernière année est entièrement dédiée à la RI. Les programmes de formation de ces deux filières durent 6 ans.

Enfin, la voie habituelle est d’effectuer une résidence en radiologie diagnostique pendant 5 ans, qu’il est encore possible de faire suivre d’une résidence en RI; cependant la résidence dédiée à la RI dure 2 ans (la formation dure donc 7 ans en tout). Il faut également que je précise qu’il N’EXISTE PLUS de « surspécialisation en RI » aux États-Unis. Les trois filières de formation à la RI portent toutes le nom de programmes de résidence.

L’année où j’ai commencé ma formation en RI, en 2020, j’ai fait partie de la première cohorte effectuant une résidence indépendante en deux ans. À l’origine, quand j’ai déposé ma candidature et que j’ai appris cela, j’ai été un peu découragé par l’année supplémentaire de formation que je devrais faire par rapport aux surspécialisations au Canada. Mais si c’était à refaire, je le referais sans hésitation. Ça m’a déjà pris quelques mois pour me sentir à l’aise dans les nombreux sites hospitaliers d’Emory… Et au sein d’un environnement de santé très différent, globalement. Mais surtout, cette année supplémentaire de traitement de cas en tant que stagiaire m’a été extrêmement précieuse. J’ai pu affiner mes compétences tant en matière d’interventions courantes (comme les embolisations de fibromes utérins) que d’interventions moins courantes (comme l’embolisation d’une artère prostatique ou même la mise en place transœsophagienne percutanée d’un tube par gastrotomie). Par conséquent, tout bien considéré, j’estime que cette année supplémentaire a été un véritable bonus.

En second lieu, le programme de résidence en RI de deux ans (qui n’est pas une surspécialisation!) comporte des avantages que l’on cherche à avoir une carrière en milieu universitaire ou extra-universitaire. Pour une carrière en milieu universitaire, le raisonnement est plutôt simple : deux ans de formation de pointe en RI clinique dans un environnement on ne peut plus universitaire établissent les bases d’une réussite académique en RI. Je pense cependant que cette filière renforce davantage les compétences d’un candidat qui se destine à l’exercice en milieu communautaire, où les services de surspécialité sont plus rares et où le radiologue d’intervention peut utiliser tout l’arsenal de connaissances à sa disposition et toutes ses compétences pour améliorer les soins aux patients au sein d’équipes pluridisciplinaires.

Il y a peu d’inconvénients à effectuer une résidence en RI aux États-Unis, selon moi. L’aspect le plus difficile a été de ne pas voir ma famille autant que je l’aurais voulu pendant ma formation. Puisque l’ensemble de ma formation de surspécialisation s’est passée à « l’ère de la COVID-19 », en particulier la première année avec l’explosion des nouveaux cas, il n’était ni faisable, ni pratique de rentrer au Canada. Heureusement, j’ai pu compter sur d’excellents collègues et titulaires, grâce à qui je me suis senti comme chez moi à Emory.

À mon avis, grâce à une formation complémentaire spécialisée et à du mentorat, il est possible de surmonter les inconvénients secondaires, comme le manque de formation sur les interventions aortiques et les artériopathies périphériques dont j’ai parlé précédemment, ou même sur d’autres compétences pratiques et connaissances qui sont mises de l’avant dans un pays plus que dans un autre ou même au sein d’un établissement. Tout est possible pour un radiologue d’intervention qui possède des compétences de base sur les fils guide et les cathéters et une expertise en imagerie diagnostique. À Emory, mes mentors m’ont fortement incité à ne pas me focaliser outre mesure sur une intervention en particulier, mais plutôt à passer davantage de temps à comprendre le processus pathologique. En effet, il est fort probable que la maladie existe encore demain, ce qui ne sera peut-être pas le cas du traitement offert aujourd’hui.

Pensez-vous passer les examens canadiens de radiologie d’intervention vasculaire? Pourquoi?

Oui, je prévois certainement de passer les examens canadiens de radiologie d’intervention. Comme c’est le cas pour les examens de surspécialisation en RI aux États-Unis, une évaluation normalisée de la RI au Canada permet de s’assurer que les médecins en exercice dans ce domaine possèdent les connaissances appropriées afin de répondre au mieux aux besoins des patients en toute sécurité.

 

Dr. Aida Ahrari is a second-year radiology resident at the University of Toronto. She completed her undergraduate degree at the University of Ottawa, and MD-MSc at the University of Toronto. In her role as a member of the CAIR-RFS committee, Aida is involved in organizing a variety of educational opportunities for trainees interested in the field of interventional radiology.

CAIR Express - votre bulletin d'information sur la Radiologie d'intervention Canadienne à portée de la main. N'hésitez pas à le transmettre à d'autres collègues de votre réseau et, surtout, de profiter du matériel qui a été conçu pour vous.

Le prix CAIR vise à récompenser les personnes qui ont apporté des contributions importantes et rendu des services exceptionnels au domaine de la radiologie d’intervention et/ou à l’Association canadienne pour la radiologie d’intervention (CAIR).

L’Association canadienne pour la radiologie d’intervention (CAIR) est actuellement à la recherche de personnes pour siéger à son conseil d’administration pendant un mandat de deux ans commençant en juin 2023.

Nous félicitons le Dr Sean Kennedy pour cette reconnaissance des services exceptionnels rendus à la revue CVIR, soit le plus grand nombre de relectures en 2021.

UMIC has undergone significant recent expansion of services combined with some pending radiologist retirements. As such, we are recruiting with Interventional Radiology as an area of special need.

La prise en charge de la douleur assistée par imagerie est un peu la bête noire de nombreux radiologues d’intervention vasculaire au Canada. On n’en fait pas beaucoup, puisque ce sont habituellement les anesthésistes, les chirurgiens surspécialisés ou les radiologues formés en imagerie musculosquelettique diagnostique qui effectuent ces interventions.

The Department of Radiology, McMaster University and the Department of Diagnostic Imaging, Hamilton Health Sciences are seeking a full-time radiologist for the Juravinski Hospital and Cancer Centre interventional program, for start date of July 2023.

CAIR Express - votre bulletin d'information sur la Radiologie d'intervention Canadienne à portée de la main. N'hésitez pas à le transmettre à d'autres collègues de votre réseau et, surtout, de profiter du matériel qui a été conçu pour vous.

Le Dr Virani a grandi dans la région de Toronto et effectué ses études de premier cycle et ses études supérieures à l’Université Western. Il est revenu à Toronto pour ses études de médecine avant de s’aventurer à l’Est pour une résidence en radiologie diagnostique à l’Université Dalhousie d’Halifax.